un vrai livre de punch

un vrai livre de punch
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C’est un petit livre de seulement 125 pages, écrit par Élise, habitante de Grand-Figeac. Un livre qui laisse un goût de cendre et de mépris dans la bouche.

C’est un témoignage authentique qui se lit d’une traite, les mâchoires serrées, tandis que les mots de l’auteur nous prennent au cœur et ne nous quittent plus. Un livre bien illustré par le titre d’une chanson de Jean Ferrat, “Personne ne guérit de son enfance”.

Élise est née dans les années 80 dans une famille atypique qu’elle appelle « la communauté ». Un père boulanger et un oncle pâtissier partagent le même magasin où leurs épouses vendent du pain et des gâteaux. Une sœur et deux cousines composent la famille. Une promiscuité qui ne tarde pas à lui peser, qu’on devine vite et qu’on découvre au fil de la lecture.

Loin de nous l’idée de juger ceci ou cela, mais nous éprouvons de la compassion pour l’auteur, sans vraiment haïr la communauté, jusqu’à la découverte du mal qui ronge Élise. Ce livre est glaçant. Et l’on pense à ce graffiti que l’on peut encore lire sur une vieille porte, rue Caviale : « celui qui porte dans son cœur le cadavre de son enfance ne fera qu’éduquer les âmes mortes ». Puisse Elise retrouver un jour la sérénité.

« La chasse à la sérénité » d’Elise, aux éditions Vérone. 14 €.

« La quête de la sérénité » :

un vrai livre de punch

C’est un petit livre de seulement 125 pages, écrit par Élise, habitante de Grand-Figeac. Un livre qui laisse un goût de cendre et de mépris dans la bouche.

C’est un témoignage authentique qui se lit d’une traite, les mâchoires serrées, tandis que les mots de l’auteur nous prennent au cœur et ne nous quittent plus. Un livre bien illustré par le titre d’une chanson de Jean Ferrat, “Personne ne guérit de son enfance”.

Élise est née dans les années 80 dans une famille atypique qu’elle appelle « la communauté ». Un père boulanger et un oncle pâtissier partagent le même magasin où leurs épouses vendent du pain et des gâteaux. Une sœur et deux cousines composent la famille. Une promiscuité qui ne tarde pas à lui peser, qu’on devine vite et qu’on découvre au fil de la lecture.

Loin de nous l’idée de juger ceci ou cela, mais nous éprouvons de la compassion pour l’auteur, sans vraiment haïr la communauté, jusqu’à la découverte du mal qui ronge Élise. Ce livre est glaçant. Et l’on pense à ce graffiti que l’on peut encore lire sur une vieille porte, rue Caviale : « celui qui porte dans son cœur le cadavre de son enfance ne fera qu’éduquer les âmes mortes ». Puisse Elise retrouver un jour la sérénité.

« La chasse à la sérénité » d’Elise, aux éditions Vérone. 14 €.

 
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