Selon cette source, neuf autres personnes sont mortes et d’autres ont été blessées. Les corps ont été transportés à l’hôpital Al-Ahli à Gaza.
“Un certain nombre de martyrs sont encore sous les décombres”, a déclaré Bassal à l’AFP. “Nous avons du mal (à les trouver) à cause du manque de matériel et de carburant.”
Interrogée par l’AFP, l’armée israélienne a indiqué ne pas être en mesure de confirmer cette information.
En avril, trois fils et quatre petits-enfants de M. Haniyeh, qui vit en exil au Qatar, ont été tués lors d’une frappe dans le camp de Chati. L’armée a confirmé avoir tué les trois fils, décrits comme des « agents militaires de l’organisation terroriste Hamas », lors d’une frappe aérienne.
Ismaïl Haniyeh a alors indiqué qu’une soixantaine de membres de sa famille avaient été tués depuis le 7 octobre.
Le dernier bilan du gouvernement du Hamas, au pouvoir à Gaza depuis 2007, fait état de 37.626 morts depuis le début de la guerre, en majorité des civils.
La guerre a été déclenchée par l’attaque sans précédent de commandos du mouvement islamiste sur le sol israélien le 7 octobre, qui a fait 1.195 morts, pour la plupart des civils, selon un décompte de l’AFP basé sur des données officielles. Israéliens.