Oise. Quatre motos de motocross saisies par la police lors d’un rodéo à Compiègne

Oise. Quatre motos de motocross saisies par la police lors d’un rodéo à Compiègne
Oise. Quatre motos de motocross saisies par la police lors d’un rodéo à Compiègne

Par Adrien Deschepper
Publié le

30 avril 24 à 6h14

Voir mon actualité
Suivre Actualités Oise

Quatre motocross ont été arrêtés par la police après avoir arrêté une partie de rodéo urbain a Compiègne (Oise), sur l’ancien site militaire du Camp des Sablons. Quatre individus ont été interceptés par la police municipale jeudi dernier après avoir circulé dans le quartier de La Victoire puis sur l’ancien terrain militaire du 25e RGA.

Tous les quatre ont ensuite été remis à la police nationale. « La politique de tolérance zéro s’applique et continuera à s’appliquer”, réagit le maire (LR) de Compiègne, Philippe Marini.

Les résidents peuvent signaler les rodéos

« Je tiens à féliciter encore une fois nos policiers qui chaque jour, à toute heure, sont dans les rues, les cages d’escalier, les points de vente de drogue pour préserver la qualité de vie des Compiégnois. Ils n’épargnent aucun de leurs efforts », souligne également l’élu.

Je peux vous assurer que nous faisons tout notre possible pour mettre fin aux rodéos à moto.

Philippe MariniMaire (LR) de Compiègne

A Compiègne, les habitants peuvent reportage rodéos urbains qui se déroulent devant ou à proximité d’eux via l’adresse email [email protected]. « Vous pouvez nous transmettre des informations pratiques, des horaires, des plaques d’immatriculation des véhicules transportant des motos ou simplement vous exprimer à ce sujet », indique la Ville.

Les informations transmises seront ensuite transmises à la police municipale et traitées auprès de la police nationale de Compiègne.

Suivez toute l’actualité de vos villes et médias préférés en vous abonnant à Mon Actu.

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

PREV circulation et interdiction autour du lac de Madine
NEXT Turbulences mortelles dans un avion de Singapore Airlines : ce que l’on sait