Anne-Sylvie Sprenger (Protestinfo)
Publié le 1er mai 2024 à 08h18. / Modifié le 1er mai 2024 à 08h18.
Pierre-Philippe Blaser doit indéniablement son goût pour les récits bibliques à sa mère. En effet, au cœur du couple parental, la religion est un véritable terrain de discorde. Cadet de trois garçons – « J’ai dix ans de différence avec mes frères, je suis le post-scriptum » – le jeune Neuchâtelois a grandi à Peseux entre une mère « engagée dans l’Église protestante, organiste et catéchiste » et un père « enseignant ». , souvent critique à l’égard du christianisme ».
Très jeune, celui qui est devenu pasteur avant de devenir l’actuel président de l’Église réformée du canton de Fribourg ainsi que vice-président de l’Église évangélique réformée de Suisse (EERS) a appris l’échange contradictoire, le débat d’idées. Il en fait son terrain de jeu favori, notamment auprès de ses camarades de classe de l’Ecole des Arts Appliqués de La Chaux-de-Fonds, où il se forme à la gravure sur métal.
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