De
Paul Tomaselli
Un but dans chaque mi-- d’Arnautovic et Asllani : l’équipe d’Inzaghi rencontrera la Lazio en quarts de finale le 5 ou le 26 février
Au cinquième essai, L’Inter passe facilement les huitièmes de finale de la Coupe d’Italiequi s’était soldé quatre fois de suite par des prolongations ou des tirs au but et qui, il y a un an, leur avait coûté l’élimination contre Bologne.
C’est peut-être parce que cette année le match est encore plus sec, car en cas de match nul après 90′, des pénalités sont immédiatement imposées, mais l’Inter-bis est très pressé de se débarrasser d’un obstacle dans lequel il y a toujours beaucoup à perdre. , surtout pour ceux qui se soucient de la Coupe d’Italie. Maintenant les Nerazzurri défieront la Lazio à San Siro en quarts de finalele 5 ou le 26 février. Celui qui passe passe le vainqueur de Milan-Rome.
Inzaghi force seuls Bastoni et Bisseck à faire des prolongations. L’Allemand joue sa première titularisation au centre de la défense et considérant que l’Udinese se présente avec Lucca et l’ex Sanchez Au premier match de la saison (il ne dure qu’une mi--), l’examen serait également intéressant. Mais contrairement au match de championnat remporté 3-2 dans le Frioul, l’Inter risque peu, à tel point que le débutant Martinez dans le butà l’exception d’un arrêt pas du tout anodin à la 90e minute suite à un tir de Tourémontre surtout ses capacités balle au pied, qui promettent de belles choses et qui n’ont pas été perfectionnées à la Masia de Barcelone pour rien.
Inzaghi cherchait également des réponses de Asllani réalisant et du couple d’attaque Taremi-Arnautovic. L’Albanais ralentit souvent le rythme, mais l’entraîneur de l’Inter respire dans le cou pour accélérer la circulation du ballon. Le premier départ de Buchanan en tant que titulaire est révisable, bien qu’il soit rapide et technique, il n’attire jamais vraiment l’attention en tant qu’ailier droit. Lui aussi a besoin de retrouver plus de confiance sur le terrain.
Après un penalty concédé par Massimi et retiré par le VAR sur une frappe déséquilibrée d’Arnautovic qui touche le côté de Kabasele et après des protestations suite à un renversement de Taremi dans la surface, les deux attaquants réservistes ont pris les devants, gentiment offerts par une passe décisive d’Ekkelenkamp qui l’a lancé en arrière mais a trouvé l’Iranien. L’ancien attaquant de Porto est doué pour se lancer puis avec une feinte de corps pour favoriser la coupe d’Arnautovic vers la gauche, qui centre en diagonale avec son pied gauche.
Le but enlève toute anxiété aux Nerazzurri. Mais alors que le jeu est arrêté pour qu’un corner soit tiré, Bastoni tend la main pour signaler la maladie qui a frappé l’un des 53 mille supporters présents dans le coin sud. En réalité, les secours ont déjà été activés, ils sont opportuns et décisifs : après le premier massage cardiaque, le défibrillateur utilisé par le professeur Alessandro Geddoresponsable des services de santé du stade, sauve la vie du spectateur d’une cinquantaine d’années, stabilisé puis hospitalisé.
Sur ce même corner, tiré après 6′ d’interruption, Asllani a inventé le but « olympique », c’est-à-dire directement sur le corner, sans que personne ne touche le ballon. Entre un remplacement et un autre, nous voyons également le bébé géant Palacios, juste dans son troisième segment et les débuts du jeune Aidoo de 19 ans, également défenseur. Taremi, encore sec sur l’action, ouvre trop le marbre sur la contre-attaque, lancée par Lautaroet ça frappe le pôle. S’il joue un peu plus en championnat ainsi qu’en Coupes (seulement 232′ en Serie A pour lui) il réessayera prochainement. Car l’Inter demande plus de certitudes à ses attaquants de réserve. Alors que Lautaro rate encore un but et se fait effrayer par un coup au genou au dernier moment : rien de grave.
19 décembre 2024 (modifié le 19 décembre 2024 | 23h15)
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