les critiques de la série hilarante de Netflix sont disponibles

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La presse française analysée Fiascola nouvelle série fraîchement sortie sur Netflix emmenée par Igor Gotesman (Entreprise familiale, cinq) avec Pierre Niney et François Civil. La promesse de 7 épisodes hilarants inspirés de l’excellente série anglo-saxonne Le bureau.

Fiascola série Netflix qui fait grincer des dents avec Pierre Niney ?

Aujourd’hui est le jour où la série arrive Fiasco sur Netflix. Après Affaire de famille, Igor Gotesman s’associe à son ami Pierre Niney pour livrer une comédie en sept épisodes construite comme un faux documentaire (film ou série parodique aux accents documentaires). Inspiré de la célèbre et hilarante série du genre Le bureau, Fiasco raconte les déboires d’un jeune réalisateur (Pierre Niney) qui envisage de réaliser son premier film afin de rendre hommage à la vie héroïque de sa grand-mère résistante. Ce making-of de l’absurde enchaîne plans embarrassants, plaisanteries en tout genre, comédie de situation et répétition pour amadouer le spectateur, aidé par un casting français de la Comédie-Française : Pierre Niney, François Civil, Pascal Demolon en via Géraldine Nakache.

La presse française a pu rendre son verdict sur la comédie qui devrait ravir les fans de Le bureau donc, mais aussi Torche. La plupart des médias s’accordent sur une série très drôle et pleine d’humour grincer des dents porté par des acteurs très engagés. Seul bémol, certaines longueurs qui pourraient pousser certains spectateurs jusqu’à l’overdose.

C’est aussi l’une des grandes forces de Fiasco : la série repousse sans cesse les limites de la comédie, ne se limitant pas à un seul genre mais mélangeant les styles pour mieux nous amuser.

Comédie situationnelle, répétition, blagues cochonnes, jeux de mots boiteux, humour embarrassant, absurde et même pipi… il y a de tout dans Fiasco. Les plaisanteries coulent, se succèdent, virevoltent à un rythme savamment dosé, et elles font toujours mouche grâce à la justesse des comédiens – Les Numériques

Même si vous n’aimez pas les situations délicates poussées à l’extrême ou les malentendus à profusion, Fiasco vous épuisera… Le méta format attise immédiatement la curiosité, mais lors des premiers épisodes, Fiasco apparaît un peu timide. Comme si la série avait d’abord hésité à embrasser pleinement son style, dont le mélange comédie-enquête peine à trouver son équilibre. Puis petit à petit, Gotesman a fait du décor de film le lieu idéal pour des situations grinçantes en tout genre : jeux de mots boiteux, comédie de répétition, blagues scat, regards caméra à la The Office, mensonges et moments de malaise… On entre dans cette série un peu douteuse. , mais on en ressort hilarant et surtout, étonnamment ému par l’humanité de ses personnages tous plus décalés les uns que les autres – Première

Avec Fiasco, Igor Gotesman assume dignement ce rôle : l’écriture est brillante, jouant notamment avec les sonorités des mots pour inventer des quiproquos en toutes circonstances. Cette facilité d’écriture, que l’on retrouve dans le format court Casting(s) et dans le film Five, déjà imaginé par Igor Gotesman et Pierre Niney, confère à Fiasco une fluidité particulièrement agréable. On est gêné, certes, à chaque seconde, par toutes les aventures de la série, mais les jeux de mots sont si intelligemment mesurés, qu’on finit par se détendre, un peu, en guettant chaque nouvelle découverte – Numérama

Entre le producteur ringard (Pascal Demolon), incapable de suivre son époque, l’actrice naïve (Leslie Medina), qui flirte avec le réalisateur, la première assistante amoureuse (Géraldine Nakache, toujours parfaite) ou le jeune protagoniste (François Civil) prêt à tout pour décrocher un rôle, Fiasco propose une galerie de portraits caricaturaux, dans l’ensemble plutôt savoureux, qui contribuent à donner vie à une parodie réalisée à 100 à l’heure, et filmée en bonus DVD – Le Point Pop

Comme dans The Office, les personnages sont pathétiques. Cela nous amuse au début, mais plus ils s’enfoncent dans leur médiocrité, plus leur sort s’avère triste, ce qui fait de Fiasco une comédie parfois amère. Les manigances cachent un profond malaise chez Raphaël, comme chez le producteur Jean-Marc ou Magalie, le public incarné par Géraldine Nakache.

On regrette quelques longueurs (la série aurait gagné à avoir un épisode en moins) et un final un peu trop artificiel, mais, dans l’ensemble, Fiasco ravira les fans de Family Business et de comédie. Le duo Igor Gotesman-Pierre Niney surprend une nouvelle fois, et ce dernier s’offre une vitrine fantastique avec un rôle qui tranche avec ses autres compositions – L’claireur Fnac

Fiasco est disponible aujourd’hui sur Netflix. De votre côté, n’hésitez pas à donner votre avis si vous avez (déjà) commencé à regarder les mini-séries les plus populaires grincer des dents de l’année.

 
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