Splendide. La NASA a publié une vidéo d’une simulation d’une entrée dans un trou noir similaire à celui situé au centre de la galaxie. Attention, l’expérience est vertigineuse.
le trou noir, un phénomène toujours aussi fascinant et mystérieux
C’est l’un des phénomènes les plus mystérieux jamais observés dans l’univers, dont les astrophysiciens tentent de percer les mystères en s’appuyant sur les travaux sur la relativité générale publiés par Albert Einstein entre 1907 et 1915. Le trou noir a toujours fasciné les hommes.
Christopher Nolan en a fait sa star dans son film Interstellaire (2014) lorsque l’astronaute Joseph Cooper s’approche et pénètre dans Gargantua, le trou noir central de la galaxie imaginaire, ce qui lui permet de briser les barrières entre l’espace et le temps. Une hypothèse peu plausible et peu réaliste selon les experts. Le cinéma reste du cinéma.
cette vidéo fascinante d’un supercalculateur de la NASA
Pourtant, le phénomène d’attraction vécu par le personnage incarné par Matthew McConaughey, somptueusement présenté en images et mis en valeur par le réalisateur oscarisé, rappelle cette simulation d’un supercalculateur de la NASA, qui a recréé le phénomène. La NASA a publié une vidéo vertigineuse pour expliquer les effets de la gravité dans un trou noir semblable à celui situé au centre de notre galaxie, du point de vue d’un astronaute.
En seulement 5 jours, cette machine a traité environ 10 téraoctets de données. Une tâche qui aurait pris plus de 10 ans à un ordinateur moins performant. Comme le souligne la National Aeronautics and Space Administration, la descente initiale commence à environ 640 millions de kilomètres du trou noir. À mesure que la caméra se rapproche, elle accélère, atteignant des vitesses proches de la vitesse de la lumière.
Un supercalculateur de la NASA recrée ce que signifie entrer dans un trou noir
par vous/imaginexus Dans intéressantasfuck
le réveil d’un trou noir observé
Ce phénomène dont on cherche depuis longtemps à percer les mystères a été observée par des astrophysiciens en 2019. L’Observatoire européen austral à l’origine de l’observation du réveil d’un trou noir supermassif a révélé l’information mardi 18 juin 2024. Un phénomène jamais observé en temps réel selon les scientifiques Objectif : déterminer si ce réveil est épisodique, comprendre aussi la raison pour laquelle il absorbe à nouveau une quantité importante de matière, et enfin comprendre plus généralement ce qui se passe précisément au sein de ces noyaux galactiques actifs.
