13/14 en direct de Saint Lô pour les 80 ans du Débarquement : hommage aux victimes civiles

Le plateau d’hôtes :

Emmanuel Thiébotcommissaire de l’exposition « Renaissance des Ruines » au Mémorial de Falaise
François Gaugain, ancien rédacteur en chef de France Bleu Normandie
Peggy Quinettemaître de conférences en neuropsychologie à l’Université de Caen.
Karen Lajon,ancien correspondant de guerre du JDD pendant 35 ans qui a couvert plusieurs zones de conflits.

Les pérégrinations de Jérôme Cadet

Dans les rues de Saint-Lô avec Dominique Mazierdescendante de Germaine Loquet, qui a dû fuir les bombardements avec ses huit enfants.

Dominique Mazier, descendante de Germaine Loquet qui a fui les bombardements avec ses huit enfants. Photo prise devant l’ancienne maison familiale.

Dominique Mazier, vêtu d’un Gi américain, dans les escaliers menant à l’ancienne maison familiale, d’où sa famille a dû fuir lors des bombardements.

Germaine Locquet et ses enfants devant leur maison de Saint Lô, celle devant laquelle nous avons rencontré Dominique Mazier, une de ses descendantes.

Au pub « Le Castel » avecSylvain Barré professeur et trois de ses élèves,Eugénie, Virgile et Théodu lycée Curie-Corot de Saint Lô pour parler du travail de mémoire réalisé en classe.

Eugénie, élève du lycée Curie-Corot de Saint Lô au micro de Jérôme Cadet.

Théo, élève du lycée Curie-Corot de Saint Lô au micro de Jérôme Cadet.

Virgile, élève au lycée Curie-Corot de Saint Lô au micro de Jérôme Cadet.

Sylvain Barré, professeur d’éco-gestion au lycée Curie-Corot de Saint Lô, au micro de Jérôme Cadet.

Reportage de Laurent Kramer

Au soir du 6 juin 1944, pour se protéger des bombardements, plusieurs centaines de Saint-Lois se réfugient pendant plusieurs jours dans un tunnel souterrain creusé sous les remparts de Saint-Lô.
Rencontre avec Suzanne Pénache, 90 ans qui pendant très longtemps n’a pas parlé de ce drame qu’elle a vécu lors des bombardements de Saint Lô.

L’entretien avec Cécilia Arbona

Elle avait 7 ans le 6 juin 1944. Elle habitait rue Octave Feuillet à Saint Lô lorsque les bombes tombèrent. Arlette Lecot, bientôt 87 ans, se souvient de Cécilia Arbona au micro. Elle s’est réfugiée avec sa famille dans le sous-sol d’une maison. Lorsqu’ils ont pu sortir deux jours plus tard, la rue était dévastée et la majorité de leurs voisins étaient morts.