Le samedi 27 avril 2024, le corps de Matisse, 15 ans, a été retrouvé. Le jeune adolescent a été poignardé. Et il semblerait que ce soit la conséquence d’une bagarre qui aurait éclaté avec un autre adolescent. Si les deux jeunes hommes ont eu une altercation, celui soupçonné du meurtre de Matisse est revenu avec un couteau. Il aurait été suivi par sa mère.
Selon nos confrères de Parisien, la mère du suspect aurait giflé le jeune Matisse avant que son fils ne le poignarde mortellement. Des témoins auraient vu la mère frapper le jeune adolescent. “D’autres ont rapporté qu’elle avait tenté de le réanimer.”
La mère du suspect a-t-elle frappé Matisse ?
La mère et le fils ont été placés en garde à vue le lendemain des faits. L’auteur, un mineur afghan de 15 ans, et sa mère ont été orientés. Le suspect était connu de la justice pour des faits de « vol aggravé avec violences ». Une enquête pour « tentative d’homicide volontaire ». L’enquête n’a pas encore déterminé comment les événements se sont déroulés. Mais certaines informations sont déjà connues.
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Les deux jeunes se sont retrouvés à Châteauroux pour une battle de rap freestyle. Une bagarre éclate alors entre les deux jeunes adolescents. De la « Pensées racistes » aurait alors été détenu par Matisse.
Matisse est décédé des suites de ses blessures
Par la suite, le suspect est rentré chez lui et s’est dirigé vers l’endroit où se trouvait Matisse. Avec un couteau, il aurait poignardé la jeune victime à travers la vitre ouverte d’une voiture. « A aucun moment la mère de l’accusé, décrite par ses proches comme « vindicative » et « instable », n’a tenté de calmer son fils.
Les secours ont alors été appelés. Matisse, blessé à la poitrine, a été transporté à l’hôpital, sa vie étant en danger. Dans la soirée, il est mort des suites de ses blessures. Quelques heures plus tard, le suspect a été arrêté avec sa mère. L’enquête se poursuit donc et le suspect doit être présenté à un juge. Une nouvelle affaire de violences entre adolescents qui fait froid dans le dos et qui n’est pas sans rappeler les morts d’autres jeunes.
