De Méru à Beauvais en passant par Creil et Clermont, le préfet de l’Oise a salué les courageux du 31 décembre

De Méru à Beauvais en passant par Creil et Clermont, le préfet de l’Oise a salué les courageux du 31 décembre
De Méru à Beauvais en passant par Creil et Clermont, le préfet de l’Oise a salué les courageux du 31 décembre
Avec le maire de Beauvais Franck Pia, le préfet de l’Oise Jean-Marie Caillaud a rendu visite aux policiers municipaux de la ville-préfecture.

Journée marathon ce mardi 31 décembre pour Jean-Marie Caillaud, préfet de l’Oise. Pour sa première Réveillon du Nouvel An dans le département, le préfet a souhaité respecter la tradition des visites »ceux qui sont là pour que la soirée se passe bien».

La journée a débuté près de Méru, dans l’après-midi. Jean-Marie Caillaud est allé rencontrer la compagnie de gendarmerie qui contrôlait plusieurs établissements concernant l’interdiction de vente d’alcool aux mineurs : Balto, Celtic et Fresh Way.

Direction Creil ensuite, à la rencontre de la police nationale et de la compagnie composée de 47 CRS. Le préfet a ensuite assisté à une maraude auprès du Samu social, avant de se rendre aux urgences de l’hôpital. Le préfet est ensuite allé saluer la compagnie de gendarmerie et les pompiers de Clermont, avant de regagner Beauvais, la ville-préfecture.

Une activité dense au Samu

Là, il s’est rendu dans les locaux de la police municipale. Il a pu observer les opérateurs de vidéoprotection à l’œuvre au centre de supervision.

Le centre de supervision au travail lors du réveillon du 31 décembre, à Beauvais.

Vers 22h30, Jean-Marie Caillaud termine sa tournée en saluant les équipes du Samu et du Smur de Beauvais, à proximité de l’hôpital. A cette époque, 580 dossiers réglementaires avaient été ouverts depuis la veille minuit. UN “activité chargée» selon Vanessa Plocienniczak Emard, responsable du service, mais le plus dur était encore à venir. “Le vrai problème arrivera vers 4h du matin, là les gens sont encore le soir», explique-t-elle.

Pour le préfet, il est temps de rentrer, avec le sentiment du devoir accompli. “je trouve ça normalil murmure. Les professionnels s’engagent à ce que tout se passe en parfaite sécurité. Je suis là pour incarner l’État, c’est normal de les soutenir. L’idée était d’aller plus loin que Beauvais. Si je suis encore là l’année prochaine, j’irai probablement ailleurs, à Compiègne ou à Noyon. L’idée est de montrer à chaque entreprise que nous sommes là pour les soutenir, et créer de la convivialité.»

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

PREV Dans cette agglomération de l’Eure, les étudiants seront de nouveau en concert en janvier
NEXT Mea culpa sur la dissolution, possibles référendums… Benjamin Morel évoque une « communication qui se réajuste »