Aucun autre comme ça
C’est bien le même mouvement qui a animé l’équipe de conception. Cette Jaguar ne copie en fait rien d’existant. Son design est pour le moins déconcertant, et il est difficile de dire s’il faut le qualifier d’échec ou de génie. Les proportions de la voiture, son capot interminable, ses angles vifs, ses arêtes droites, l’absence de garde au sol, son cockpit entièrement vitré et ses porte-à-faux déséquilibrés font tantôt rire, tantôt faire pleurer. Mais ce n’est encore rien comparé à la partie arrière caractérisée par l’absence de lunette arrière, comme sur la Polestar 4, et par… une calandre à lamelles horizontales fondues dans la masse, surmontée et soulignée d’un liseré lumineux en guise de point culminant. lumières.
L’intérieur est du même calibre : réduit à sa plus simple expression, avec deux écrans escamotables pour tous les éléments de commande. Vraiment, difficile d’avoir un avis tranché sur cette voiture qui, comme prévu, casse les codes.
770 km d’autonomie pour la GT de luxe
Même s’il est trop tôt pour parler technique, Jaguar annonce déjà des autonomies intéressantes pour son futur modèle de série : 770 km WLTP et surtout une recharge ultra-rapide, permettant de récupérer jusqu’à 321 km en 15 minutes de branchement seulement. . Ce futur modèle sera « une GT à quatre portes » (contre seulement deux dans le concept) construite sur une nouvelle plateforme, baptisée JEA, qui sera produite au Royaume-Uni à partir de la fin de l’année prochaine. Celle-ci n’aura plus pour concurrentes les actuelles Mercedes, Audi ou BMW, mais visera un cran plus haut, en espérant se frotter à Bentley et Rolls-Royce.