Accompagnée de 24 supporters, banderoles à la main, Martine Carrère est montée sur scène, auréolée de son titre de Super Mamie Haute-Garonne. Pétillante et chaleureuse, elle a conquis le cœur du public et des internautes et a été élue Super Mamie Solidaire. Deux journées intenses qui resteront profondément ancrées dans son cœur.
Comment vas-tu ?
La fatigue, la route, le stress des répétitions et de la soirée, les émotions… C’était vraiment merveilleux et intense. J’ai rencontré neuf mamies extraordinaires, avec qui je garderai contact. Au final, on se rend compte qu’il existe de nombreuses arrière-grands-mères, qui font briller leurs enfants et petits-enfants de tout leur amour. En tout cas, je tiens à remercier ma famille, qui m’a beaucoup soutenu, la commune de Luchon, mes supporters, qui n’ont pas hésité à faire le déplacement et à partager ce super week-end, mais aussi tous ces inconnus qui ont voté pour moi. Je remercie également tous les médias qui se sont intéressés à cette aventure, avec un clin d’œil à Caroline ! J’ai été élue Super Mamie Solidarité à l’unanimité, grâce aux votes des internautes et du public, je suis vraiment très touchée.
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Le rythme a-t-il été soutenu ?
Oui, les répétitions ont été vraiment très précises mais le comité nous a vraiment bien encadré, dans une ambiance très familiale et conviviale. La présidente, Fabienne Ollier, mais aussi Céline, Françoise, Joël… Tous ces gens se sont dévoués pour nous, pour nos familles, c’est vraiment incroyable ce qu’on a vécu. Le soleil que j’ai trouvé à Nice, je l’ai gardé dans mon cœur et je le garderai précieusement.
Élu à l’unanimité, n’est-ce pas rien ?
J’en ai été très touché. Cela m’a montré que j’étais aimé. Mes enfants et petits-enfants se sont impliqués d’une manière incroyable, ils m’ont redonné tout l’amour que j’ai pour eux… Et puis, j’étais content d’aller en finale. L’émotion aurait été la même si je n’avais pas été élu. Cependant, je suis toujours fier d’avoir fait connaître Luchon à Nice et de ramener cette écharpe. Et puis, j’ai amené Joan de Nadau à Nice, chantant avec Roger Vert « Mon Dieu, je suis à mon aise ». Cela aussi n’est pas rien !
