Comment expliquer cette nouvelle hausse ? L’élection de Donald Trump a fait naître quelques incertitudes sur les livraisons de gaz et de pétrole américains dans les années à venir. Plus que jamais, l’Europe doit chercher des solutions pour assurer son indépendance énergétique.
Et puis, la guerre en Ukraine continue de faire un yo-yo sur les marchés. L’Autriche, qui s’approvisionne encore principalement en gaz russe, craint un arrêt des livraisons de Gazprom dans les prochains mois, ce qui a provoqué une hausse des prix jeudi dernier. “Plusieurs pays d’Europe centrale sont toujours approvisionnés par la Russie malgré le conflit. Ce gaz est fourni via un gazoduc qui traverse l’Ukraine et le contrat de transit expire à la fin de cette année.», rappelle Belga.
Pompes à chaleur, chaudières neuves, panneaux solaires, mini-éolienne, PEB : attention au piège
Alors que faire de votre contrat d’énergie ? Aujourd’hui, un contrat fixe coûte environ 200 € de plus en rythme annuel par rapport à mars dernier, indique Test-Achats, qui explique également que l’écart de prix diminue entre contrats fixes et variables, et c’est une bonne nouvelle. “Alors qu’une famille ayant une consommation moyenne d’électricité et de gaz devait débourser environ 350 euros de plus par an ces derniers mois pour bénéficier de la sécurité d’un forfait, ce montant est tombé sous la barre des 300 euros en novembre.“
Si vous devez signer un nouveau contrat, une formule variable semble, pour le moment, la meilleure option.
