Au procès pour viol de Mazan, la défense risquée du journaliste qui détenait quatre mille images pédopornographiques

Au procès pour viol de Mazan, la défense risquée du journaliste qui détenait quatre mille images pédopornographiques
Au procès pour viol de Mazan, la défense risquée du journaliste qui détenait quatre mille images pédopornographiques

RAPPORT D’AUDIENCE – Lors de cette dernière semaine d’interrogatoires, le correspondant de presse et ancien président de la « Jeune Chambre Economique du Grand Avignon » Nicolas F. a répondu aux questions du tribunal correctionnel du Vaucluse.

Un cran au dessus d’horreur. Tôt ce lundi 18 novembre, le tribunal correctionnel du Vaucluse a entendu Nicolas F. Agé de 43 ans, le prévenu est un journaliste indépendant, ancien employé de la mairie d’Avignon et ex-président de la « Jeune Chambre Economique du Grand Avignon ».

Au début du procès, il avait pris l’habitude de se mêler aux journalistes à l’entrée de la salle d’audience. Cela lui a notamment permis d’échapper aux caméras. Aujourd’hui, face au tribunal correctionnel du Vaucluse, aucune confusion n’est possible : Nicolas F., accusé de « viol aggravé » sur Gisèle Pelicot, mais aussi « détention d’images d’un mineur à caractère pornographique »a dû répondre de ses actes. Crâne rasé, lunettes rectangulaires posées sur le bout du nez, chemise blanche et pull bleu roi avec coudières, il se tient droit.

Devant le tribunal, l’ancien correspondant de presse affirme qu’il était en réalité attiré par Dominique Pélicot et non par son épouse. Le 15 janvier 2018, au domicile Pélicot…

Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 80% à découvrir.

Vendredi noir

-70% sur l’abonnement numérique

Déjà abonné ? Se connecter

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

NEXT Pour l’opposition géorgienne, la manifestation est un remède à la mélancolie