plusieurs pays rejoignent la selon Emmanuel Macron, le gouvernement proposera un vote au Parlement

plusieurs pays rejoignent la selon Emmanuel Macron, le gouvernement proposera un vote au Parlement
plusieurs pays rejoignent la France selon Emmanuel Macron, le gouvernement proposera un vote au Parlement

Emmanuel Macron a affirmé ce lundi au G20 de Rio de Janeiro que la « n’était paspas isolé“dans son opposition”dans l’état” a l’accord commercial entre l’Union européenne et les pays d’Amérique latine du Mercosur, affirmant que plusieurs pays «rejoindre« . Pour le président français, «le texte repose sur des prérequis qui sont obsolètes« . Dimanche déjà, depuis l’Argentine, il avait annoncé que la France « ne signerait pas en l’état » le projet d’accord avec le Mercosur.

Nous travaillons depuis plusieurs mois, plusieurs années. Alors nous nous rassemblons, nous nous rassemblons», a ajouté Emmanuel Macron. Parmi ceux qui ont les mêmes préoccupations que la France, il a cité la Pologne, l’Autriche, l’Italie et “plusieurs autres en Europe« . Le ministre italien de l’Agriculture, Francesco Lollobrigida, s’est prononcé lundi contre le projet d’accord dans sa forme actuelle.

« J’ai toujours protégé nos agriculteurs »

Emmanuel Macron a expliqué qu’il «proposer« au président brésilien Lula pour initier »de nouveaux travaux pour tenter de développer un cadre d’investissement commun, mais qui protège« L’agriculture française et européenne, rappelant que La France s’oppose à l’importation de produits agricoles qui ne respectent pas les mêmes règles environnementales et sanitaires.

Les déclarations qui entrent dans le cadre de la grande mobilisation des agriculteurs françaisnotamment contre le Mercosur. “J’ai toujours protégé nos agriculteurs. Ils savent que quand je fais des promesses, je les tiens», a encore dit Emmanuel Macron depuis le G20. Pour être sûr de pouvoir s’opposer à la signature du Mercosur, La France doit rassembler une minorité de blocage au sein de l’Union européenne.

Le gouvernement proposera un vote au Parlement

Le gouvernement proposera un débat au Parlement suivi d’un vote sur cet accord commercial controversé, a annoncé Matignon mardi. Le gouvernement propose ce débat conformément à l’article 50-1 de la Constitution. Par cet article, le gouvernement peut, de sa propre initiative ou à la demande d’un groupe parlementaire, faire une déclaration sur un sujet précis donnant lieu à un débat, voire à un vote, sans engager sa responsabilité.

La porte-parole du gouvernement, Maud Bregeon, avait indiqué ce mardi sur TF1 qu’elle souhaitait “à titre personnel”, qu'”il peut y avoir un débat à l’Assemblée nationale suivi d’un vote”, pour “renforcer la position qui est celle du président et celle du Premier ministre”.

“C’est légitime que l’Assemblée nationale puisse s’exprimer sur la question, il y a beaucoup de députés qui sont inquiets parce qu’ils ont des agriculteurs dans leurs circonscriptions et, de manière générale, parce que cela concerne tous les Français”, » complète Maud Brégeon.

La France « continuera à tenir le bras de fer »

Le porte-parole du gouvernement a également promis que la France continuerait « tenir le bras de fer aussi longtemps que nécessaire » avec la présidente de la Commission européenne Ursula Von der Leyen contre le traité de libre-échange.

Pour elle, l’accord avec les pays du Mercosur défendu par plusieurs grands pays de l’Union européenne, comme l’Allemagne ou l’Espagne, «constitue une concurrence déloyale absolument inacceptable pour nos éleveurs, car non cohérente sur le plan écologique et notamment au regard de l’Accord de Paris.

 
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