suivez la conférence de presse de l’équipe de France avec Giroud et Pavard

J’ai joué avec Arnautovic, Sabitzer et Laimer. On sait que c’est une équipe très forte physiquement et techniquement. Ils ont un excellent entraîneur. On s’attend à un match très compliqué et il va falloir réagir.

C’est bien par rapport aux caractéristiques de ceux qui jouent. Le coach l’a mis en place, nous l’avons sous contrôle. On l’a bien maîtrisé, on peut faire un peu mieux. On peut changer pendant le match aussi donc on verra.

Je suis dans une défense à trois. Le coach nous laisse beaucoup de liberté. Je suis arrivé dans un grand club, finaliste de la Ligue des Champions. Je suis venu pour gagner le scudetto, c’est ce que nous avons fait. C’est un plaisir de jouer dans ce club, avec ces supporters… On adore vivre des moments comme ceux-là.

Ils ont changé d’entraîneur (Julian Nagelsmann). C’est un très grand entraîneur, un très grand tacticien et ils ont aussi de très grands joueurs. Evidemment, nous n’étions pas contents mais c’est mieux que ça arrive maintenant, c’est un rappel. Maintenant, nous sommes prêts et nous savons ce que nous devons changer pour gagner les matches.

Les clubs allemands n’ont pas peur de lancer de jeunes joueurs. Beaucoup de jeunes Français viennent en Allemagne car en France les clubs ne font pas forcément confiance. Ici, ils n’ont pas peur et les jeunes apprennent aussi la rigueur allemande. Pour moi, c’était bénéfique de venir en Allemagne.

Je le trouve très bon et je suis sûr qu’il fera un bel Euro. C’est un grand joueur et il l’a montré depuis de nombreuses années, que ce soit en club ou au niveau national.

Je suis polyvalent. Je peux avoir un très bon niveau que ce soit en tant qu’arrière droit ou défenseur central. Lilian Thuram est une référence. J’ai pu parler avec lui. C’est une très bonne personne sur le plan humain et il me donne aussi quelques conseils. J’essaie d’être le plus performant possible, que ce soit en tant qu’arrière droit ou défenseur central.

Je ne suis pas là pour juger les gens. Ils auront la possibilité de voter. Tout le monde devrait y aller : les jeunes, les vieux et les personnes âgées.

Avec le coach, cela reste privé. Il sait que s’il fait appel à moi, je répondrai car je suis un compétiteur. Actuellement, je ne joue pas mais je reste positif. Je me donne à 100% à l’entraînement et c’est à moi de répondre s’il fait appel à moi.

La première fois que je suis arrivé, j’avais 19 ou 20 ans. Tout de suite, j’ai ressenti la rigueur allemande, l’entraînement où il faut tout donner. J’ai vécu sept années merveilleuses ici, que ce soit à Stuttgart ou au Bayern Munich où j’ai beaucoup gagné. Les stades sont pleins, il y a vraiment une bonne ambiance. J’ai beaucoup de choses positives là-dessus et je suis très heureux de revenir ici en Allemagne avec l’équipe de France.

Je pense que nous avons une équipe complète tant défensivement qu’offensivement. Devant, nous avons les meilleurs joueurs du monde. Au milieu et derrière nous sommes très forts. Je trouve que nous sommes une équipe très soudée. Parfois il faut savoir souffrir en équipe, c’est ce qu’on sait faire et puis on a tellement de talent devant qu’on peut faire la différence à tout moment.

Ça commence fort (rire). Actuellement, je suis principalement sur le banc de gauche. Ce sont les choix de l’entraîneur. Je m’adapte à ce qu’il me demande, que ce soit un latéral droit ou un défenseur central.

Concernant mon temps de jeu, on verra. Je suis prêt physiquement et mentalement, que ce soit sur le banc ou pour débuter. Je me sens bien.

En Allemagne, les Bleus sont entrés dans la dernière ligne droite avant d’accéder à la compétition, ce lundi 17 juin face à l’Autriche (21 heures). Les deux semaines de préparation n’ont pas laissé une impression convaincante, mais plusieurs questions restent sans réponse. Ils ont en revanche enregistré le déclassement (temporaire ?) de certains éléments de la hiérarchie, dont les expérimentés Olivier Giroud et Benjamin Pavard.

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Avant le début de la conférence de presse, n’hésitez pas à lire (ou relire) l’entretien exclusif de Kylian Mbappé pour Ouest-France.

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