Les chefs de file du rugby européen vont proposer des changements de format urgents suite au tollé du côté sud-africain de la décision des Bulls d’amener une équipe de réserve pour les quarts de finale de la Coupe des Champions

Les chefs de file du rugby européen vont proposer des changements de format urgents suite au tollé du côté sud-africain de la décision des Bulls d’amener une équipe de réserve pour les quarts de finale de la Coupe des Champions
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  • Les Bulls ont provoqué un tollé en alignant une équipe de réserve lors de leur défaite en quart de finale
  • L’entraîneur-chef Jake White s’est d’abord plaint des difficultés liées aux vols britanniques.
  • Il a ensuite cité des problèmes de blessures comme raison de l’omission de plusieurs joueurs clés.

Les organisateurs européens de rugby exhorteront les clubs à accepter un changement urgent du format des tournois, pour éviter une répétition de la controverse sur la sélection du week-end dernier – alors qu’ils luttent pour obtenir un nouvel accord télévisé lucratif.

Les quarts de finale de la Coupe des Champions ont été marqués par le tollé provoqué par la décision des Bulls d’Afrique du Sud de faire appel à une équipe de réserve pour affronter Northampton à Franklin’s Gardens.

La franchise United Rugby Championship, basée à Pretoria, fera l’objet d’une enquête, mais les responsables de l’EPCR ont reconnu que la meilleure solution consiste à imposer une modification vitale du calendrier, afin de supprimer toute excuse pour que des équipes affaiblies soient désignées pour les éliminations. Jeux.

À l’heure actuelle, les quarts de finale ont lieu une semaine seulement après les huitièmes de finale et, compte tenu de la présence d’équipes sud-africaines – depuis la saison dernière – la logistique s’est avérée très perturbante. L’entraîneur-chef des Bulls, Jake White, s’est d’abord plaint des difficultés liées aux vols vers le Royaume-Uni avant de citer des problèmes de blessures lorsqu’il a omis plusieurs Springboks et d’autres joueurs de premier plan.

Il est entendu que la hiérarchie de l’EPCR redoublera d’efforts pour persuader ses clubs et ligues membres d’accepter un changement qui autorise plus de temps entre les huitièmes de finale et le week-end à succès des huitièmes de finale.

Les quarts de finale de la Coupe des Champions ont été marqués par le tollé suscité par la décision des Bulls d’Afrique du Sud de faire appel à une équipe de réserve pour affronter Northampton.
L’entraîneur-chef des Bulls, Jake White, s’est d’abord plaint des difficultés liées aux vols vers le Royaume-Uni.

Le message sera que les clubs participants risquent de « perdre des millions » s’ils ne maximisent pas les opportunités de billetterie, d’hospitalité et de sponsoring présentées par ces rencontres de renom. Le problème est que les clubs préfèrent que la saison soit divisée en blocs de matches transfrontaliers et de championnat.

Les autorités européennes sont extrêmement satisfaites de l’impact de l’inclusion des équipes sud-africaines, même si elles reconnaissent la nécessité de résoudre les problèmes logistiques à long terme qui accompagnent leur implication. Ils sont encouragés par des chiffres d’audience et un engagement en ligne plus élevés, ainsi que par des accords de parrainage associés. Cet accord deviendra encore plus solide lorsque – sous réserve de divers critères – les Sud-Africains deviendront parties prenantes à part entière de l’EPCR l’année prochaine.

Les Sharks de Durban devraient disputer leur demi-finale de la Challenge Cup à The Stoop – le terrain des Harlequins à Twickenham – alors qu’ils cherchent à exploiter le marché du rugby sud-africain à Londres. Et les Cheetahs ont eu un tel succès en organisant des matches à Amsterdam qu’ils ont dû y augmenter la capacité pour répondre à la demande. Cependant, des sources ont révélé que l’EPCR souhaitait améliorer la reconnaissance du statut de renom de ses tournois dans son nouvel avant-poste du sud.

Les négociations sur le format des compétitions auront lieu à un moment clé alors que les responsables européens du rugby cherchent à obtenir des conditions favorables pour un nouvel accord sur les droits de télévision au Royaume-Uni. Il semblerait que TNT ait fait une offre que l’EPCR a rejetée – provisoirement – ​​comme étant insuffisante.

Comme il est peu probable que Sky soit en concurrence pour ces droits, les organisateurs de tournois sont confrontés à un dilemme entre les meilleurs revenus possibles et la menace de devenir quasi invisible s’ils acceptent un accord avec un service de streaming en ligne. Ils espèrent que les risques accrus cette saison leur donneront un levier supplémentaire, mais ils sont conscients que le marché des droits sportifs est en train de saturer et de se développer.

Parallèlement, la hiérarchie de l’EPCR souhaite explorer la possibilité d’une expansion ultérieure sur de nouveaux territoires – l’Espagne étant identifiée comme un nouveau marché doté d’un vaste potentiel.

La phase finale de 2026 aura lieu dans l’impressionnant stade San Mames de Bilbao, où les matchs phares ont été organisés avec tant de succès en 2018, tandis que des démarches sont en cours pour créer une nouvelle franchise espagnole à Valladolid.

La finale 2026 aura lieu dans l’impressionnant stade San Mames de Bilbao, où le Leinster s’est imposé contre le Racing 92 en 2018.

Il existe une nouvelle instance dirigeante ambitieuse en Espagne avec de grands desseins pour une future candidature à l’organisation de la Coupe du Monde et les matches nationaux dans le pays ont attiré des foules de 25 000 à 30 000 personnes – avec un match Espagne contre Classic All Blacks à Madrid attirant une participation de 25 000 à 30 000 personnes. 40 000 en 2022.

“Sur le papier, l’Espagne est un géant endormi”, a déclaré une Source. C’est sans aucun doute vrai – et une franchise ibérique en Challenge Cup pourrait ouvrir un marché de diffusion important.

 
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