Pour la troisième fois, Niko se lance dans une nouvelle aventure. Le jeune renne plonge le public dans l’ambiance chaleureuse et festive de la période de Noël. Si le film n’est pas particulièrement innovant, il se démarque par ses messages touchants et bien adaptés aux jeunes spectateurs.
(Une critique de Christopher Diekhaus, adaptée de l’allemand)
Le grand jour est enfin arrivé : Niko a l’opportunité de rejoindre l’équipe volante du Père Noël, à laquelle appartient son père. Mais pour ce faire, il devra affronter Stella, une rivale aussi déterminée que talentueuse. Cependant, lorsque le traîneau chargé de précieux cadeaux disparaît, les deux rennes vont devoir mettre leurs différences de côté et unir leurs forces pour sauver la magie de Noël.
Extrait de « Niko, le petit renne : Mission Père Noël »
© 2024 Praesens Film
« Niko, le petit renne : Mission Père Noël » s’inscrit dans la lignée des films d’animation modernes : des personnages aux traits épurés, des scènes d’action rythmées qui captent facilement l’attention des enfants, et une intrigue soutenue, sans - morts. Bien sûr, il y a aussi des personnages secondaires comiques, comme un groupe de lemmings admirant Julius, l’écureuil volant, fidèle compagnon de Niko.
Cependant, ce nouveau volet apporte un vent de fraîcheur à la trilogie de films, débutée en 2008. Le personnage de Stella, notamment, enrichit un univers jusqu’alors dominé par les figures masculines. Le film propose également une réflexion subtile sur les traditions et leurs remises en question. Une belle leçon de modernité, idéale pour petits et grands !
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Bande-annonce de « Niko, le petit renne : Mission Père Noël »
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