jour 1 » de Michael Sarnoski, un ange passe – Libération

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Terrifié

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Préquelle de la série éponyme, le film d’horreur sur les premières heures apocalyptiques d’un New York sous invasion extraterrestre se transforme en méditation sur la fin de la vie.

“Pas maintenant.” Sam (Lupita Nyong’o) l’a écrit noir sur blanc dans son carnet, elle n’est pas prête. Pas prête de mourir du cancer qui la ronge, même si elle sait qu’elle a largement dépassé le délai que lui avaient fixé ses médecins. Même si elle joue le sarcastique avec ceux qui l’accompagnent dans ses derniers jours, elle s’accroche à la vie de toutes ses forces – avant d’y aller, elle a encore deux, trois traumatismes à purger. Alors lorsque l’apocalypse survient sous la forme d’une invasion extraterrestre, son existence bascule d’une manière bien étrange. Oh, elle est terrifiée bien sûr, parce que les extraterrestres qui arrivent sont terrifiants. De vrais monstres, des machines à tuer aveugles mais invincibles, leurs longues pattes surmontées de longues griffes, leur horrible tête fleurie enserrant une bouche abyssale surmontée de dents alignées comme un couperet. Nous les avons déjà vus dans Sans un sonune série B post-apo-horrifico-family créée par l’acteur John Krasinski, dont on n’imaginait pas une seconde quand on découvrait en 2018 qu’elle allait se transformer en franchise et devenir le high-concept le plus copié des années 2010 (Bird Box, Le Silence…).

Discutez sur du papier de cahier

Avec curiosité Sans un bruit : jour 1 Cependant, il ne s’intéresse guère à la bonne idée qui a tout déclenché : pour échapper aux monstres, il faut se taire et marcher sur des œufs. Déplié dans

 
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