Le skipper breton Maxime Sorel (VandB-Monbana-Mayenne) veut « faire rêver, c’est magique »

Le skipper breton Maxime Sorel (VandB-Monbana-Mayenne) veut « faire rêver, c’est magique »
Le skipper breton Maxime Sorel (VandB-Monbana-Mayenne) veut « faire rêver, c’est magique »

Aucune cartouche à l’horizon. The Vendée Globe skippers prêts à faire le tour du monde en solitaire sans escale devraient bénéficier d’un beau temps pour départ dimanche 10 novembre aux Sables-d’Olonne, ont indiqué les organisateurs de la course. Les 40 marins devront quitter les pontons dès 8h et le départ sera alors donné à 13h02. Charlie Dalin (Macif) sera le premier marin à descendre le célèbre chenal du port vendéen. Contrairement à la dernière édition, dont le début a été donné en plein confinement lié à l’épidémie de Covid, des centaines de milliers de personnes seront massées le long du canal.

Le Breton Maxime Sorel (VandB-Monbana-Mayenne), qui a terminé 10ème en 2020, vise le Top 5 cette année : « Même si on a le meilleur bateau, le meilleur skipper, ce n’est pas forcément ça qui mène à la victoire. Être au départ c’est une victoire, être à l’arrivée c’est une seconde et je pense que ça va se résumer à placer le curseur au bon endroit, ne pas attaquer constamment, c’est une course très très longue et avoir 2 000 kilomètres de retard c’est pas perdu.

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Selon les dernières simulations réalisées par la direction de course, les plus rapides cette année devraient se trouver à l’équateur “entre 10 et 12 jours”. Lors de l’établissement du record de l’épreuve en 2016/2017 (74 jours 3 heures et 35 minutes), Armel Le Cléac’h a atteint la barre en un peu plus de 9 jours. En 2020, c’est Yannick Bestaven, originaire de Saint-Nazaire, qui s’est imposé. Un seul marin a réussi à remporter la course à deux reprises, Michel Desjoyeaux, en 2000 et 2008.

 
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