Un sommet de paix au Bürgenstock, des critiques et de nombreuses questions sans réponse

Un sommet de paix au Bürgenstock, des critiques et de nombreuses questions sans réponse
Un sommet de paix au Bürgenstock, des critiques et de nombreuses questions sans réponse

Publié le 4 juin 2024 à 20h25 / Modifié le 4 juin 2024 à 20h27

Cela fait un siècle que la Suisse ne s’est pas lancée dans un tel défi diplomatique. En acceptant d’organiser un sommet de paix à la demande de l’Ukraine, Berne marche sur des champs de mines dans un monde de plus en plus fracturé. Depuis janvier et l’annonce de Viola Amherd, accompagnée de Volodymyr Zelensky, de préparer une conférence internationale, les spéculations et les critiques ne manquent pas. Début mai, le président de la Confédération a envoyé 160 invitations à des chefs d’État et de gouvernement ainsi qu’à certaines organisations internationales. Environ 80 personnes ont répondu à ce jour. Une centaine sont attendus au sommet du Bürgenstock. A dix jours de cette rencontre mondiale, voici comment les enjeux se présentent.

Qui se cache derrière le sommet du Bürgenstock ?

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