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Andreas Zünd a ainsi réagi aux critiques de l’UDC, du Centre et du PLR après le jugement, selon lesquelles les juges ne devraient pas faire de politique climatique. La Cour ne comprend pas la démocratie suisse, a-t-on entendu par exemple du côté du PLR. Les Verts libéraux, les Verts et le PS ont été confirmés dans leurs revendications. Le PS a interprété ce jugement comme une gifle pour le Conseil fédéral.
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A la question de savoir en quoi le climat serait un droit de l’homme exigible, le juge suisse de la CEDH a répondu : « Nous nous sommes basés sur la Convention des Droits de l’Homme » pour rendre ce jugement. Deux articles ont permis d’établir un lien avec le changement climatique : le droit à la vie et le droit à la vie privée. Le bien-être physique en fait partie, souligne Andreas Zünd. Il s’avère que le réchauffement affectera fortement le bien-être des populations et pourrait même entraîner la mort. “Le changement climatique représente un nouveau défi, car les dégâts ne surviennent pas immédiatement”, ajoute l’avocat.
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