France Inter confie une nouvelle émission littéraire à Lilia Hassaine

France Inter confie une nouvelle émission littéraire à Lilia Hassaine
France Inter confie une nouvelle émission littéraire à Lilia Hassaine

France Inter, qui a décidé d’arrêter « La livre francophone » animée depuis 2005 par Emmanuel Khérada annoncé vendredi que l’écrivain Lilia Hassaine présenterait à la rentrée un nouveau programme consacré à la littérature de langue française, confirmant une information du journal Le Parisien.

Cette nouvelle formule hebdomadaire, programmée le samedi à un horaire encore à déterminer, sera codiffusée sur les médias publics belge (RTBF), suisse (RTS) et canadien (Radio Canada), comme l’était “La librairie francophone”, a indiqué France Inter à l’AFP.

« La littérature a une place essentielle à l’antenne », a souligné le directeur de France Inter, Adèle Van Reethdans un communiqué transmis à l’AFP. Lilia Hassaine, ancienne chroniqueuse du « Quotidien », avec sa casquette d’écrivain, a tout le talent pour interroger les auteurs, parler de leurs œuvres, et défendre la lecture et le travail des libraires qui auront une place encore plus importante dans ce nouveau spectacle. “, elle a ajouté.

Écrivain et présentateur

Né en 1991, révélé au grand public dans l’émission Yann Barthès sur TMC, Lilia Hassaine a reçu l’an dernier le prix Renaudot des lycéens pour son troisième roman, Panoramapublié par Gallimard.

En mai, Emmanuel Khérad déplorait sur Facebook la fin de son émission, « contre son gré « Le même mois, plus de 400 écrivains et personnalités du monde littéraire, dont Marie Ndiaye, Atiq Rahimi, Tahar Ben Jelloun, Sorj Chalandon ou Jean-Christophe Rufinavaient exprimé leur « inquiétude » face à la disparition de « La livre francophone », dans une tribune publiée par le Nouvelles observations.

Le 20 juin, l’Académie française a décerné à Emmanuel Khérad le Prix pour la promotion de la langue et de la littérature françaises.

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

NEXT Le « Ritz Barman » régale et Esther arrive – Libération