« Cette guerre est un problème mondial », a-t-il déclaré, à l’unisson avec de nombreux autres dirigeants.
Ce sommet de deux jours rassemble plus de 50 chefs d’État et de gouvernement, dans le but de tracer la voie vers la paix en Ukraine.
S’adressant aux dirigeants, le président français a souligné : « Personne dans cette salle n’est en guerre contre la Russie, mais tout le monde souhaite une paix durable, c’est-à-dire une paix qui respecte les règles internationales et qui rétablisse la souveraineté de l’Ukraine.
Il a insisté sur le fait que l’une des priorités du sommet était de « sécuriser la situation autour de la centrale nucléaire de Zaporizhzhia » et de rejeter « toute complaisance concernant les attaques visant des cibles et des infrastructures en Ukraine », ajoutant qu’il s’agissait de « crimes de guerre ».
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Le président français a également suggéré « qu’en même temps, nous construisions tous ensemble un suivi afin d’élargir le cercle des pays se joignant à nos efforts ».
Cela permettra, a-t-il expliqué, « d’éviter une grande division du monde et d’éviter, dirais-je, de se laisser tenter par d’autres initiatives », tout en soulignant qu’il ne s’agissait pas de « concurrencer » les différentes propositions visées. pour parvenir à la paix en Ukraine.
Dimanche, trois sujets seront abordés en groupes de travail lors du sommet : la sûreté nucléaire, la liberté de navigation et la sécurité alimentaire, et les aspects humanitaires, notamment le sort des enfants ukrainiens déportés vers la Russie.
