L’Inserm lance un appel à candidatures pour une chaire de recherche en oncologie pédiatrique

L’Inserm lance un appel à candidatures pour une chaire de recherche en oncologie pédiatrique
L’Inserm lance un appel à candidatures pour une chaire de recherche en oncologie pédiatrique

Environ 1 850 enfants (0-15 ans), 450 adolescents (15-17 ans) et 1 700 jeunes adultes (18-25 ans) reçoivent un diagnostic de cancer chaque année en France. Grâce aux progrès réalisés ces dernières années, le taux de survie global à 5 ​​ans dépasse 80 %.

La recherche en oncologie pédiatrique reste un enjeu crucial, inscrit dans la stratégie décennale de lutte contre le cancer 2021-2030 (action IV-2). Par ailleurs, chaque année depuis 2019, un budget supplémentaire est ajouté à un fonds de recherche dédié aux cancers pédiatriques.

Pour renforcer ces recherches, l’Inserm lance un appel à candidatures pour une chaire de recherche en oncologie pédiatrique. Ce programme d’attractivité internationale vise à attirer de nouveaux talents en France à travers la création de trois nouvelles équipes de recherche. Les titulaires de cette chaire recevront un financement pour leur salaire et un budget pour constituer une équipe de recherche, avec possibilité de recruter et de collaborer au sein de leur structure d’accueil.

Cette AAC s’adresse aux chercheurs travaillant actuellement à l’international, ou en France depuis moins de 36 mois, sans restriction d’âge, de nationalité ou de statut professionnel.

Les projets doivent répondre aux problématiques actuelles et viser un impact potentiel pour les patients. Ils doivent porter sur la recherche fondamentale ou translationnelle, excluant la recherche purement clinique, et peuvent appartenir à toutes les disciplines, y compris l’épidémiologie et les sciences humaines et sociales. Ces projets seront planifiés sur une période de 60 mois.

Ouverture du site de dépôt de projets EVA3 le 1euh juillet 2024 à 10h00
Date limite de candidature 27 septembre 2024 à 17h00

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

PREV la difficile analgésie des douleurs centrales
NEXT Les physiothérapeutes participeront au programme My Prevention Assessment