La reine Mathilde participe aux tables rondes pour la recherche sur le cancer du sein

La reine Mathilde participe aux tables rondes pour la recherche sur le cancer du sein
La reine Mathilde participe aux tables rondes pour la recherche sur le cancer du sein

L’événement conclut la campagne Octobre rose, Mois international de sensibilisation au cancer du sein, et revient sur les progrès réalisés au cours du dernier quart de siècle.

La reine Mathilde a participé mercredi à une série de tables rondes organisées à Bruxelles par l’association Breast International Group (BIG). Pour son 25e anniversaire, ce réseau académique international dédié à la recherche de nouveaux traitements contre le cancer du sein a réuni des scientifiques et des patientes qui contribuent aux avancées de la médecine contre le crabe rose.

« Il y a 25 ans, nous avons créé un réseau mondial » qui regroupe aujourd’hui 10 000 spécialistes du cancer du sein et coordonne une soixantaine de groupes de recherche liés à plusieurs milliers d’hôpitaux, a débuté le professeur David Cameron, président du BIG. Leur objectif : développer des traitements adaptés à chaque patient. “Mais j’ai le regret de vous dire que votre travail n’est pas terminé”il s’est adressé à un public de médecins et de patients.

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En Belgique, environ 11 000 personnes sont touchées chaque année par un cancer du sein. Dans le monde, environ 2,3 millions de personnes reçoivent un diagnostic chaque année. Or, la recherche est le seul moyen de comprendre la maladie, son mode d’évolution et les raisons de sa progression, rappelle BIG. Mercredi, environ soixante-dix scientifiques et patients répartis dans différentes tables ont discuté de sept thèmes. Certains se sont concentrés sur les progrès de l’immunothérapie, d’autres sur les cancers du sein métastatiques qui migrent vers le cerveau ; certains discutaient « essais cliniques et changement climatique » tandis que d’autres évaluaient des populations spécifiques, telles que les patients de sexe masculin.

En effet, si une femme sur huit risque de développer un cancer du sein au cours de sa vie, les hommes ne sont pas épargnés non plus (un sur 800). La souveraine, de son côté, allait de table en table. Son soutien depuis 2010 a permis au réseau d’établir de nouvelles collaborations en Belgique et à l’étranger, a noté M. Cameron. Pour preuve, certains avaient fait le déplacement mercredi depuis le Canada, le Brésil, l’Espagne, l’Australie, la Suède ou encore le Japon.

Belge

Santé

 
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