Avec « The Land Within », Fisnik Maxville cartographie les émotions

Avec « The Land Within », Fisnik Maxville cartographie les émotions
Avec « The Land Within », Fisnik Maxville cartographie les émotions

Publié le 30 avril 2024 à 13h18 / Modifié le 30 avril 2024 à 17h36

Une jeune fille sous la pluie comme dans un conte fantastique. Trois hommes autour du feu dans une ambiance western. Femmes en costumes rouges interprétant une chanson traditionnelle. Un charnier autour duquel se cristallisent toutes les horreurs et les abus de la guerre… La terre intérieure, le premier long métrage de Fisnik Maxville tourné au format Scope, fait partie de ceux qui insèrent en permanence la rétine lors de la prise de photo. En marge de l’histoire familiale et de la reconstitution qui constitue son arc narratif, il convainc par son équilibre entre une mise en scène et un découpage classiciste sobre et une approche esthétique très picturale. Dans le sillage d’autres premiers films à succès, comme Foudre de Carmen Jaquier et Laisse-moi par Maxime Rappaz, La terre intérieure incarne la belle vitalité du nouveau cinéma francophone.

Lire: Carmen Jaquier, une cinéaste en quête d’identité et d’égalité

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