A 52 ans, Géraldine Maillet se confie sans filtre sur son addiction : « Je… – .

A 52 ans, Géraldine Maillet se confie sans filtre sur son addiction : « Je… – .
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Par Elsa Girard-Basset | Journaliste web

Devenu une figure bien connue du PAF pour son rôle de chroniqueur dans « Touche pas à mon poste », Gérald Maillet séduit souvent (et divise parfois) les téléspectateurs par sa franchise et son art du maniement des mots. Par exemple, très récemment, elle a admis avoir lutté contre une dépendance il y a plusieurs années. Une addiction plutôt saine, certes, mais toujours dangereuse selon elle…

Écrivaine, scénariste, mannequin et même comédienne : Géraldine Maillet a fait bien des choses au cours de sa riche carrière professionnelle. Mais c’est depuis qu’elle était chroniqueuse sur C8 pour la saison 2017-2018 de « Touche pas à mon poste » que la native de Haute-Garonne a gagné en notoriété auprès du grand public. Un statut qu’elle gère très bien, la preuve : elle est suffisamment à l’aise pour se confier sur sa vie personnelle.

Si elle ne se livre jamais trop sur sa relation avec Daniel Riolo, Géraldine Maillet s’appuie régulièrement sur ses expériences pour évoquer divers sujets. C’est ce qu’elle a fait récemment à propos de l’addiction, une notion évidemment aussi large qu’épineuse.

Géraldine Maillet honnête sur son addiction

Invitée de « Face à Hanouna » ce dimanche, la quinquagénaire s’est confiée pour la première fois sur la seule addiction qu’elle ait jamais eue :

J’ai eu une période de ma vie où j’étais accro. Il y a vingt ans. Au sport. C’était du jogging.

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Jusqu’à présent, tout semble plutôt normal. Sauf que comme tout le reste, le sport doit rester une pratique modérée, et non devenir un mécanisme addictif. L’ex-mannequin a expliqué que cette situation était dangereuse :

C’était dangereux parce que je courais tous les jours. Lorsqu’on fait du sport, on sécrète beaucoup d’endorphine, donc ça stimule. Après c’est une drogue, c’est à dire qu’on en a besoin, donc il faut toujours courir. Et je courais normalement deux ou trois fois par semaine et à un moment donné, je me voyais courir tous les jours et même plusieurs fois par jour parce que ça me manquait.

Un aveu honnête de celle qui vit très sainement, et qui avoue s’être laissée entraîner par la bigorexie, ce trouble qui rend accro au sport non plus par plaisir, mais par nécessité absolue.

Si tout va mieux aujourd’hui pour elle, la chroniqueuse de Cyril Hanouna doit cependant encore faire face à un autre problème : les propos mesquins sur les réseaux sociaux. Et de ce point de vue, les choses ne semblent pas plus près de s’améliorer, comme elle le confie avec un certain détachement…

Nous sommes constamment jugés sur notre apparence. Souvent je dis « vieille jument », « vieille girafe ». Ça revient très souvent, c’est un de mes best-of…

Si la pratique du sport reste évidemment recommandée à tous, elle ne doit pas devenir une obsession, supplantant les autres priorités du quotidien et devenant Source de manque ou de frustration. Géraldine Maillet est tombée dans cette dérive, et elle a la lucidité de le reconnaître aujourd’hui. C’est ce que ça dit !

 
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