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En conférence de presse à Brisbane (Australie) ce dimanche 29 décembre, le Serbe est revenu sur les récents cas de dopage dans le Tennis, regrettant un manque de transparence et soulevant des différences de traitement selon les joueurs.
Il n’y a pas que sur le terrain que Novak Djokovic rejoindra Nick Kyrgios. Partenaire de l’Australien en double pour le tournoi de Brisbane qui débute dans quelques jours, l’ancien numéro 1 mondial s’est à son tour exprimé sur la question du dopage ce dimanche 29 décembre. Et s’il n’a pas été aussi virulent que son coéquipier, il l’a été. également très critique envers la gestion des récents scandales qui ont touché le monde du tennis.
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“Je pense que Nick a des arguments valables en matière de transparence et d’incohérence des protocoles et de comparaisons au cas par cas”, a déclaré Djokovic en référence aux déclarations de l’Australien. S’il a réitéré sa croyance en l’innocence de Jannik Sinner, il a expliqué qu’il était « très frustré, comme la plupart des autres joueurs, d’avoir été tenu dans le flou pendant cinq mois ».
Au-delà de ce manque de transparence, Djokovic s’interroge sur les différences de traitement selon le statut des joueurs. « Je m’interroge simplement sur la façon dont fonctionne le système. Pourquoi certains joueurs ne sont-ils pas traités de la même manière que d’autres ? Il y a peut-être des raisons de classement derrière cela, ou peut-être que d’autres ont plus de soutien financier derrière eux ou des équipes juridiques plus solides.
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Des propos qui font écho à ceux tenus il y a plusieurs mois par Simona Halep, suspendue quatre ans pour un test positif avant que sa sanction ne soit réduite à neuf mois en mars 2024. La Roumaine avait dénoncé une « injustice » concernant le traitement des cas Sinner et Swiatek : « Pourquoi y a-t-il une si grande différence de traitement et de jugement ? Je ne trouve pas et je ne pense pas qu’il puisse y avoir de réponse logique.
