cette carrière à laquelle elle a abandonné après « une grosse désillusion »

cette carrière à laquelle elle a abandonné après « une grosse désillusion »
cette carrière à laquelle elle a abandonné après « une grosse désillusion »

By Léna Saint Jalmes

Publié
23 décembre à 9h55,

mis à jour 23 décembre à 10h28

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Maya Lauqué n’a pas toujours rêvé d’être journaliste. C’est aussi une grande sportive qui espérait au départ faire carrière dans une discipline très difficile.

La journaliste Maya Lauqué, qui officie à Télématin est le farceur de Julian Bugier. Elle présentera donc le JT de 13 heures de 2 en semaine pendant les vacances scolaires. Mais avant de se tourner vers le journalisme et les médias, Maya Lauqué avait un autre rêve. Loin de l’actualité et de l’actualité continue, elle souhaitait poursuivre une carrière dans la danse, révèlent nos confrères de parisien.

C’est loin des plateaux télé que Maya Lauqué imaginait son avenir. Elle a aussi mis sa vie de jeune fille de côté pour tenter de réaliser son rêve : danser. ” Elle a quitté Bayonne natale à l’adolescence dans l’espoir de devenir danseuse. l’Opéra de Paris “, révélé Le Parisien. Mais malheureusement, Maya Lauqué a « a jeté l’éponge à 17 ans, après une grosse “désillusion” « . Comme elle l’explique dans une vidéo sur son compte Instagram, elle a effectué un an de stage à l’Opéra de Paris lorsqu’elle avait neuf ans. Puis, elle suit des cours au Conservatoire National Supérieur de et de Danse de Paris tout au long de son adolescence.

Maya Lauqué : l’histoire derrière les prénoms de ses enfants

Maya Lauqué a découvert les joies de la maternité à la naissance de son fils, il y a presque dix ans, en avril 2015. Pour son premier enfant, Maya Lauqué a souhaité lui donner un prénom classique. ” On a imaginé un petit blond au nez qui coule, un peu ébouriffé et qui fait des bêtises. Le prénom Lucien vient de lux : léger, et ça lui va très très bien. », a-t-elle expliqué dans les colonnes de Maman magique . Puis, trois ans plus tard, la famille s’agrandit avec la naissance de Jeanne, en juillet 2018. Elle cherchait un prénom que sa fille puisse « porter pour tous les âges ». « Nous l’avons choisi en une minute. Pas de débat, pas d’argumentation ! », a-t-elle confié, amusée, à nos confrères. Avant d’indiquer que ce prénom était un tendre clin d’œil à une personne qui a été extrêmement importante dans sa vie : « Jeanne était le prénom de mon arrière-grand-mère. Je l’adorais. Je garde l’image d’une femme forte avec un fort caractère, mais aussi très drôle et attentive avec les enfants.. » Très vite, la présentatrice de 45 ans s’est rendu compte qu’elle avait fait le bon choix : « Notre Jeanne est LA douceur. »

Article rédigé 6Médias

France

 
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