et maintenant, LFI veut censurer la Commission européenne

et maintenant, LFI veut censurer la Commission européenne
et maintenant, LFI veut censurer la Commission européenne

UNAprès Barnier, LFI cible Ursula von der Leyen. Le parti de Jean-Luc Mélenchon, qui avait déposé une motion de censure dont l’adoption a conduit au renversement du Premier ministre, veut désormais déposer une censure contre le président de l’institution européenne. En cause, l’accord de libre-échange conclu avec les pays sud-américains du Mercosur, finalisé par la Commission européenne et critiqué par plusieurs pays européens, notamment la .

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«Je veux tirer la sonnette d’alarme solennellement. La Commission européenne entre en vigueur. Elle nous a refusé l’accès aux documents de négociation”, a déclaré l’eurodéputée Manon Aubry, invitée de CNews-Europe 1 ce vendredi 13 décembre. “Je dépose avec mon groupe une motion de censure contre la Commission européenne”, a-t-elle annoncé, appelant ” tous les autres députés européens » pour voter le texte.

“Ce sera un moment de vérité : nous allons faire tomber cette Commission européenne qui nous impose un accord de libre-échange qui va tuer notre agriculture”, a-t-elle déclaré, soulignant qu’elle avait déjà “réussi à faire tomber Michel Barnier et son gouvernement ».

« Mepris » d’Ursula von der Leyen


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« Ce que nous avons fait en France contre Barnier, nous pouvons le faire dans l’Union européenne contre von der Leyen ! » a-t-elle aussi insisté sur son compte X. Mardi 10 décembre, les députés européens ont publié un communiqué justifiant leur motion de censure contre « un véritable coup d’État institutionnel ». «Le mépris d’Ursula von der Leyen pour la démocratie parlementaire ne se limite pas au Parlement européen. En annonçant subrepticement que l’accord devenait un accord de partenariat, Ursula von der Leyen choisit un changement de base juridique, afin de priver les parlements nationaux d’un vote de ratification”, est-il écrit.

Et de poursuivre : « Afin de plaire aux intérêts industriels de l’industrie automobile, Ursula von der Leyen a donc choisi d’imposer aux colégislateurs et aux parlements nationaux la conclusion forcée d’un accord destructeur du climat et socialement inéquitable, qui achèvera de ruiner l’Europe. l’agriculture, mettent en danger notre santé et dévastent la planète. »A LIRE AUSSI Les 10 points clés de l’accord UE-MercosurSelon Toute l’Europe, cette motion de censure doit être émise par au moins un dixième des députés européens (soit 72 actuellement). Le groupe de Manon Aubry n’en compte que 46.

France

 
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