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Contrairement à ce qu’affirment les membres de la majorité, la non-adoption du PLFSS 2025 ferait alors référence au code de la Sécurité sociale, plus généreux, pour la revalorisation des retraites, que ce que prévoyait l’exécutif dans son compromis avec Laurent Wauquiez.
Alors que le gouvernement a assumé la responsabilité du projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS) pour 2025, plusieurs commentateurs politiques proches de la majorité dénoncent les risques liés à une non-adoption de ce texte pour les Français. Et surtout pour les retraités. A l’Assemblée nationale, lundi 2 décembre, c’est le rapporteur du PLFSS qui a pris la parole. « Priver les Français d’un budget de Sécurité sociale, c’est revenir sur les retraites françaises. Ce que nous avons inclus dans le PLFSS [garantit] que toutes les retraites soient réévaluées à partir de janvier et non de juillet, et que les plus petites soient augmentées en juillet prochain avec un bouclier anti-inflation. Il n’y a donc aucun perdant. a déclaré Yannick Neuder, député LR de l’Isère, dans l’hémicycle.
Dans la matinée sur France Info, c’était au tour du vice-président (Renaissance) de la chambre basse, Roland Lescure, de tirer la sonnette d’alarme : « La fameuse indexation ou désindexation des retraites a également été votée. Et donc si vous ne votez pas […] Budget de la Sécurité Sociale, vous n’en avez pas […] pas d’augmentation des retraites.
Mesure plus généreuse
Pour rappel, le PLFSS 2025, après
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