peut-on s’y retrouver dans les « Désordres » du collectionneur Antoine de Galbert ? – .

peut-on s’y retrouver dans les « Désordres » du collectionneur Antoine de Galbert ? – .
peut-on s’y retrouver dans les « Désordres » du collectionneur Antoine de Galbert ? – .

« Troubles. Collection Antoine de Galbert »

Jusqu’au 7 juillet au Musée d’Art Contemporain de Lyon, le catalogue de l’exposition est disponible aux éditions Empire

Après avoir présenté en 2022 Une histoire de famille, Collection(s) Robelin, la première exposition au MAC Lyon consacrée à une collection privée, le musée invite le collectionneur Antoine de Galbert à exposer un large choix d’œuvres de sa collection personnelle sur tout un étage de le musée. Conçue en étroite collaboration avec Antoine de Galbert, l’exposition au MAC Lyon rassemble plus de 200 œuvres, montrant ainsi la richesse et la singularité de sa collection.

Dans un désordre assumé, mais jamais totalement maîtrisé, l’exposition pose un regard sur les inquiétudes, les errances, les luttes, les utopies, les violences et les rêves du monde, le long d’un parcours réparti en une dizaine de salles sur tout le deuxième étage. du musée. Première œuvre de ce vaste ensemble, une courte animation en noir et blanc de Radenko Milak voit la flèche de la cathédrale Notre-Dame de Paris s’effondrer dans une atmosphère brumeuse qui n’est pas sans rappeler les films expressionnistes allemands du début du XXe siècle. Le ton est donné et le reste des œuvres dépeint des images inquiétantes de sociétés que l’on sent prêtes à s’effondrer ou à s’enflammer.

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“Nouveau Fosston”, de Neil Farber, 2010
– ©Rafael Goldchain
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Schreck, de Miriam Cahn, 2012-2014
– ©François Doury, Galerie Jocelyn Wolff

Avis des critiques : à venir…

  • Corinne Rondeau J’ai constaté qu’on se retrouvait facilement dans cette exposition, comme son titre ne l’indique pas : « la salle qui nous accueille est toute petite, elle nous accueille dans l’actualité avec un regroupement d’ouvrages liés à l’actualité française et européenne ; c’est une bonne façon de faire une entrée dans l’art contemporain d’une manière assez littérale et simple.
  • Stéphane Corréard

« Un œil passionné : douze années d’acquisitions par Ger Luijten »

Jusqu’au 7 juillet à la Fondation Custodia à Paris

Ger Luijten a dirigé la Fondation Custodia pendant douze ans entre juin 2010 et son décès prématuré en décembre 2022. Cet érudit passionné, esprit curieux et grand connaisseur, n’a jamais cessé de rester fidèle à l’esprit du collectionneur Frits Lugt, fondateur de l’institution. Il l’a expliqué lui-même en 2021 : «J’essaie de me mettre dans la tête de Frits Lugt pour imaginer comment il aurait réagi à une œuvre et comment elle pourrait s’intégrer dans la collection existante.»

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« Jeune fille cousant », de Johan Gudmann Rohde en 1893
– ©Fondation Custodia, Collection Fritz Lugt, Paris
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“La Boule de Verre”, de Jozef Van Ruyssevelt, 1981
– ©Fondation Custodia, Collection Frits Lugt, Paris

Avis des critiques : à venir…

  • Corinne Rondeau
  • Stéphane Corréard

Extraits sonores :

 
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