À l’image de la saison, vous n’êtes pas loin ce soir face à Clermont, mais…
Oui, nous ne sommes pas loin. Mais nous perdons ! Et maintenant, les points qui nous manquent coûtent cher. L’écart se creuse… Donc ça me fait mal à la tête de perdre ce match. D’autant qu’on a beaucoup d’occasions en seconde période de revenir au score et qu’on ne marque pas sur des choses qu’on maîtrise : les touches ou les lancers… C’est ça qui est encore plus frustrant.
Voulez-vous toujours y croire ?
Bien sûr ! La prochaine réception, c’est le Stade Français, un match charnière. Jean-No (Spizer) dit que nous ne sommes plus maîtres de notre destin. Mais c’est sûr que, dans trois semaines, il y a un match super important. Et d’un autre côté, bien sûr, si on ne gagne pas, ça va être vraiment très compliqué. Il y a beaucoup de déception ce soir (dimanche) mais lundi, c’est de retour.
Être mené à la mi-temps ne vous a pas trop pesé ?
Oui, on a fait une grosse première mi-temps, mais j’ai l’impression que dans tous les matches, on mettait beaucoup d’énergie pour marquer des points. Et je trouve qu’au contraire, les équipes adverses marquent trop facilement. Nous travaillons dur et devons faire beaucoup d’efforts pour marquer. C’est surtout ce qui est dur à encaisser cette saison.
Belgique