Jocelyn Wildenstein, la « femme chat », en état d’arrestation au moment de sa mort ?

Jocelyn Wildenstein, la « femme chat », en état d’arrestation au moment de sa mort ?
Jocelyn Wildenstein, la « femme chat », en état d’arrestation au moment de sa mort ?

Selon le « Daily Mail », Jocelyn Wildenstein aurait laissé derrière elle une dette de 344 000 $, qui aurait pu la conduire en prison si elle était retournée à Miami.

Connue pour ses nombreuses opérations de chirurgie esthétique, qui donnaient à son visage un aspect félin, Jocelyn Wildenstein est décédée mardi 31 décembre dans un palace parisien. Figure emblématique de la jet-set, la femme de 79 ans est décédée d’une embolie pulmonaire, mais selon le « Daily Mail », une autre maladie la rongeait. La mondaine aurait été convoquée au tribunal de Miami, dans l’État américain de Floride, le 23 octobre pour une affaire de dettes et, faute de s’être présentée, elle aurait été sous mandat d’arrêt.

Selon nos confrères, une société américaine, Regal Jewelry and Gift Shop, aurait porté plainte contre Jocelyn Wildenstein en 2018, l’accusant de leur avoir volé pour 268 000 $ de pierres précieuses. La mondaine aurait été condamnée à leur rembourser cette somme, à laquelle se serait ajouté 75 928 $ d’intérêts, soit une dette de 344 000 $. Or, celle surnommée la « femme chat » n’aurait pas payé cette dette et n’aurait pas présenté à temps certains documents obligatoires, d’où sa convocation au tribunal le 23 octobre.

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De ce fait, Jocelyn Wildenstein aurait fait l’objet d’une procédure d’expulsion de son appartement de Miami Beach et selon l’ordonnance de mise en accusation, obtenue par nos confrères, le juge aurait ordonné que Jocelyn Wildenstein soit placé en détention provisoire en cas d’arrestation. .

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Une autre arrestation très médiatisée

Après avoir fait la une de la presse people pour son divorce juteux avec le marchand d’art Alec Wildenstein (qui ne l’a malheureusement pas sauvé de la faillite), Jocelyn Wildenstein avait déjà fait la Une des magazines pour des ennuis judiciaires en 2016. La mondaine était accusée d’avoir violemment s’en est prise à son compagnon, le designer Lloyd Klein : elle l’aurait poignardé avec des ciseaux et lui aurait gratté le visage avec ses longs ongles ressemblant à des griffes. Le couple s’est néanmoins amendé dans les semaines qui ont suivi et c’est à ses côtés qu’elle a mis fin à ses jours.

 
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