La coalition Vivaldi a mis en place un mécanisme de normalisation énergétique, pour garantir que les prix de l’électricité pour l’industrie ne baissent pas par rapport à ceux des pays voisins. « Toutefois, la Commission de régulation de l’électricité et du gaz estime qu’il y aura des problèmes à partir du 1er janvier », souligne le ministre, qui avait alors rédigé un arrêté royal pour réduire les prix des transports.
Ce système est un copier-coller de celui existant en France, qui n’a pas fait l’objet d’une enquête approfondie en matière d’aides d’État de la part de la Commission européenne, explique le ministre, qui ne devrait pas perdre de - une fois le prochain mis en place. a établi le gouvernement.
La réduction attendue des tarifs de transport s’élève à 80% du total, calcule Tinne Van der Straeten. L’industrie paie actuellement 5 à 6 euros par MWh. La facture, qui aurait dû passer à 8 ou 9 euros par MWh, va donc baisser à 1,5 ou 2 euros par MWh. De quoi assurer la compétitivité de ces entreprises par rapport à celles des pays voisins.
Le budget nécessaire en 2025 est de 150 millions, qui devraient provenir des accises.