Les Bleus ne rassemblent pas les foules. Samedi, à Angers, pour sa rencontre face au Nigeria (2-1), l’équipe de France féminine n’a pu compter que sur le soutien de 5 330 spectateurs. Et ce n’est malheureusement pas la réception des champions du monde en titre ce mardi soir qui va changer la donne : à Nice, contre l’Espagne (21 heures), seules 7 000 à 8 000 personnes sont attendues.
Dans une enceinte d’une capacité de 36 178 places, cela risque de sonner creux.
Cette faible affluence est d’autant plus criante que les stades anglais sont pleins pour les matches féminins : lorsque les Lionnes recevaient les Bleus à Newcastle fin mai, dans le cadre des éliminatoires de l’Euro 2025, c’était devant 42 000 spectateurs (la France a gagné 2-1).
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« Plus d’enthousiasme » pour la Société des Nations ?
“Nous sommes dans une période post-JO, dans une période hivernale où il ne fait pas chaud, a tenté de rassurer l’entraîneur Laurent Bonadei. Il y a aussi beaucoup de matches en ce moment avec la Ligue des Champions Garçons, et pour nous, ce sont des matches amicaux. Lorsque nous lancerons la Ligue des Nations en février, il y aura certainement un peu plus d’enthousiasme car les gens pourront anticiper. »
Les partenaires de Wendie Renard débuteront la Ligue des Nations contre la Norvège le 21 février.
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