dans un contexte national de consentement en baisse, les Pyrénées-Orientales affichent une bonne moyenne

dans un contexte national de consentement en baisse, les Pyrénées-Orientales affichent une bonne moyenne
dans un contexte national de consentement en baisse, les Pyrénées-Orientales affichent une bonne moyenne

Depuis mai 2024, le centre hospitalier de Perpignan a obtenu l’autorisation de mettre en œuvre un protocole légalisé en France depuis 2015. Baptisé « Maastricht 3 », ce système permet d’intégrer dans le circuit du don d’organes les personnes décédées en réanimation après arrêt du traitement. . Une décision collégiale, impliquant l’équipe médicale et la famille, qui intervient lorsque la prise en charge du patient rencontre une impasse thérapeutique et qu’il est maintenu en vie grâce aux techniques de réanimation. “Dans cette situation, l’expérience prouve que le taux d’opposition est souvent plus élevé que dans le cas d’une mort cérébrale.», constate l’équipe de Perpignan. En France, le protocole Maastricht 3 représente aujourd’hui 15% des dons. “Aux Pays-Bas, ils sont plus de 80 %.»cela montre la marge de progrès qu’offre cette nouvelle possibilité.

Pour mémoire, le consentement en France est présumé par la loi. Toute personne peut s’y opposer en s’inscrivant au registre national des refus ou en le signalant. “Lorsque le défunt ne s’est pas exprimé, la décision des proches est 50/50, note le Dr Akouz, responsable de la coordination au CHP. Mais face à ce choix tragique, lorsque les familles ont un doute, elles préfèrent généralement s’opposer au don. C’est ce qu’on appelle la peur du consentement usurpé.« .

 
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