Francesca Albanese qualifie le sauvetage de quatre otages israéliens d’opération « génocidaire »

Francesca Albanese qualifie le sauvetage de quatre otages israéliens d’opération « génocidaire »
Francesca Albanese qualifie le sauvetage de quatre otages israéliens d’opération « génocidaire »

La rapporteuse spéciale des Nations Unies sur la situation des droits de l’homme dans les territoires palestiniens, Francesca Albanese, a critiqué samedi l’opération israélienne à Nuseirat, dans le centre de la bande de Gaza, qui a abouti à la libération des otages Noa Argamani, Almog Meir Jan, Andrey. Kozlov et Shlomi Ziv, kidnappés le 7 octobre lors du festival de musique Nova.

“Je suis soulagé que quatre otages aient été libérés”, a écrit Albanese sur des soldats soi-disant étrangers, alors qu’ils se cachaient traîtreusement dans un camion d’aide humanitaire.

« Israël a utilisé des otages pour légitimer le meurtre, les blessures, les mutilations, la famine et le traumatisme des Palestiniens à Gaza. Et tout en intensifiant la violence contre les Palestiniens dans le reste des territoires occupés et en Israël », a-t-elle déclaré. revendiqué. « Israël aurait pu libérer tous les otages, vivants et intacts, il y a huit mois, lorsque le premier cessez-le-feu et échange d’otages a été mis sur la table. Pourtant, Israël a refusé de continuer à détruire Gaza et les Palestiniens en tant que peuple », a soutenu Albanese. Selon elle, cette opération de sauvetage d’otages avait une « intention génocidaire qui s’est transformée en action. C’est limpide ».

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Les quatre otages libérés retrouvent leurs famillesFDI

Francesca Albanese est connue pour ses préjugés anti-israéliens et ses positions antisémites de longue date. Elle a accusé à plusieurs reprises Israël d’être responsable de la mort de Palestiniens, notamment lors de la bousculade géante provoquée par l’assaut d’un convoi humanitaire en mars, même si des preuves irréfutables disculpaient les soldats israéliens. Quelques semaines plus tard, elle présentait un rapport accusant Israël de « génocide ». Elle a soutenu le Hamas après le 7 octobre, niant la nature antisémite du massacre ainsi que le droit d’Israël à se défendre. Elle a également qualifié d’« inacceptable » la demande de libération du plus jeune otage, Kfir Bibas, alors âgé de moins d’un an. En 2022, elle s’est rebellée contre le « lobby juif » mondial, reprenant les tropes antisémites classiques.

 
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