Comment les scientifiques de la NASA ont-ils sauvé Voyager 1, l’objet artificiel le plus éloigné de la Terre ? – .

Comment les scientifiques de la NASA ont-ils sauvé Voyager 1, l’objet artificiel le plus éloigné de la Terre ? – .
Descriptive text here

Après un silence de cinq mois, le vaisseau spatial Voyager 1, l’objet artificiel le plus éloigné, renvoie enfin des informations utiles sur son état de santé et ses systèmes, a annoncé lundi la National Aeronautics and Space Administration (NASA). L’équipe se prépare désormais à renvoyer également des données scientifiques.

Quel était le problème avec Voyager 1 ?

Voyager 1 a été lancé le 5 septembre 1977. (Expression artistique/ NASA/JPL-Caltech)
{{^userSubscribe}} {{/userSubscribe}}
{{^userSubscribe}} {{/userSubscribe}}

Le problème a commencé en novembre dernier lorsque Voyager 1 a cessé d’envoyer des données scientifiques et techniques lisibles, même si cela semblait fonctionner correctement. L’équipe du Jet Propulsion Laboratory de la NASA a découvert que cela était dû à une puce défectueuse dans l’un des ordinateurs du vaisseau spatial.

HT lance Crick-it, une destination unique pour attraper le cricket, à tout moment et en tout lieu. Explorez maintenant !

A LIRE AUSSI- Le satellite Landsat 9 de la NASA capture depuis l’espace avant et après les pics d’inondations de Dubaï

Comment Voyager 1 a-t-il été réparé ?

L’équipe de la NASA n’a pas pu le réparer ; ils ont dû diviser et déplacer le code concerné vers différentes parties de l’ordinateur. Ils ont déplacé la partie qui gère les données techniques et espéraient que cela fonctionnerait.

Un signal radio met environ 22 heures et demie pour parvenir à Voyager 1, situé à plus de 24 milliards de kilomètres de la Terre. Ensuite, il faut encore 22h30 pour revenir.

{{^userSubscribe}} {{/userSubscribe}}
{{^userSubscribe}} {{/userSubscribe}}

A LIRE AUSSI- Des étudiants indiens remportent des prix de la NASA pour le Human Exploration Rover Challenge

Lorsque l’équipe de vol de la mission a reçu une réponse du vaisseau spatial le 20 avril, elle a confirmé que la modification avait réussi. C’était la première fois en cinq mois qu’ils pouvaient surveiller la santé et l’état du vaisseau spatial.

Maintenant, ils travaillent sur le déplacement et la correction du reste du code.

A LIRE AUSSI- 10 superbes images de galaxies capturées par le télescope spatial Hubble de la NASA

Voyager 2, en revanche, fonctionne toujours comme d’habitude.

Où sont Voyager 1 et Voyager 2 maintenant ?

Voyager 1 a été lancé le 5 septembre 1977 et Voyager 2 le 20 août 1977. Voyager 1 se trouve à environ 24,3 milliards de kilomètres de la Terre, tandis que Voyager 2 est à environ 20,4 milliards de kilomètres. Selon la NASA, tous deux ont atteint « l’espace interstellaire » et chacun poursuit son voyage unique à travers l’Univers.

{{^userSubscribe}} {{/userSubscribe}}
{{^userSubscribe}} {{/userSubscribe}}

Voyager 1 et son jumeau, Voyager 2, sont les seuls engins spatiaux à s’aventurer dans l’espace interstellaire, la zone située entre les étoiles, et les plus éloignés et les plus longs jamais vus. Avant d’entrer dans l’espace interstellaire, ils ont exploré Saturne, Jupiter, Uranus et Neptune.

Débloquez un monde d’avantages avec HT ! Des newsletters perspicaces aux alertes d’actualité en temps réel et à un fil d’actualité personnalisé, tout est ici, à portée de clic ! -Connecte-toi maintenant!

A PROPOS DE L’AUTEUR

Suivez les dernières nouvelles et développements en Inde et dans le monde avec le bureau d’information de l’Hindustan Times. De la politique et des politiques à l’économie et à l’environnement, des problèmes locaux aux événements nationaux et aux affaires mondiales, nous avons ce qu’il vous faut….voir les détails

Nouvelles / Science / Comment les scientifiques de la NASA ont-ils sauvé Voyager 1, l’objet artificiel le plus éloigné de la Terre ?

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

PREV Les investisseurs attendent de voir la mer Rouge dans les chiffres des expéditeurs du premier trimestre
NEXT Deux traders licenciés par la Société Générale : ce que l’on sait