C’est quelque chose qui est passé inaperçu, mais la Société Charlevoix Mobilité a changé de nom. L’organisme qui gère le transport collectif et adapté fait peau neuve avec une nouvelle image et un nom affiné. On parle maintenant de Charlevoix Mobilité.
«Dans un diagnostic de nos communications que nous avions réalisé au début de 2024, on nous disait qu’il fallait quelque chose de plus simple pour que les gens ne se perdent pas», explique la directrice générale de Mobilité Charlevoix, Alexandra Simard.
La nouvelle image de marque met l’accent sur le « é » du mot « mobilité ». « L’accent est arrondi. Cela représente un peu la fin d’une ligne de transport sur une carte », mentionne Mme Simard.
Les nouvelles couleurs seront intégrées progressivement. Ils sont apparus sur les réseaux sociaux de l’organisation et apparaîtront bientôt sur tous les véhicules. « On garde les couleurs vert, rose, bleu et orange sur les différents véhicules […] Les gens associent beaucoup la couleur des véhicules au service qu’ils reçoivent, on les rassure d’une certaine manière », explique Mme Simard.
Un investissement d’environ 15 000 $ a été nécessaire. L’organisation n’a pas encore de date fixée pour finaliser ces changements, mais elle souhaiterait idéalement que tout soit finalisé d’ici fin 2025.
Les projets sont nombreux dans les années à venir pour Mobilité Charlevoix. Alexandra Simard affirme que son équipe travaille à l’aménagement des horaires, à la restructuration de son circuit interrégional et à la refonte de son site Internet.
La mise en œuvre de nouvelles technologies pour assurer une meilleure gestion des opérations est également en cours. « Actuellement, nous devons réserver la veille sur notre logiciel car ce n’est pas en - réel. […] La nouvelle technologie serait utile pour nous ainsi que pour nos chauffeurs ainsi que pour nos usagers», indique le directeur de Mobilité Charlevoix. Elle comprend que cette technologie coûterait cher, « mais je pense que Charlevoix est là. Toutes les organisations voient les possibilités de franchir le pas », ajoute-t-elle.
Mme Simard croit également à la pertinence d’une planification stratégique d’ici trois ans, au terme des cinq premières années du réseau de transport structurant.
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