Juraj Slafkovsky rit face à un journaliste

Hier, après une humiliante défaite de 9-2 face aux Penguins, Juraj Slafkovsky s’est présenté devant les journalistes avec une attitude qui a mis tout le monde mal à l’aise.

Alors que son début de saison a été catastrophique, l’attaquant aux 7,6 millions de dollars annuels sur huit ans a préféré adopter une posture arrogante et baveuse, riant des moments inappropriés et délivrant des réponses frisant l’insulte envers les fans.

Lorsqu’un journaliste lui pose une question cinglante sur la qualité du spectacle proposé par l’équipe :

« Si vous étiez un fan, paieriez-vous des centaines de dollars pour voir cette équipe jouer ? « .

Slavkovsky, souriant, répondit :

«Oui, je paierais. »

Voici l’extrait vidéo qui est tellement inconfortable :

Interloqués, les journalistes ont demandé pourquoi. Sa justification était tout sauf convaincante :

« Equipe jeune, avec beaucoup d’avance sur nous, ça ne change rien. Demain, si nous gagnons, que direz-vous ? »

Cette réponse, non seulement déconnectée de la réalité, est un véritable affront pour les fans qui paient de grosses sommes d’argent pour assister à des performances lamentables.

Rire après une telle question trahit une arrogance inexplicable, surtout pour un joueur qui vit une saison misérable.

Slafkovsky a également minimisé les inquiétudes concernant la tendance à l’effondrement de l’équipe :

« Combien de fois est-ce arrivé ? » Deux fois? Trois fois. Non pas que je compte. »

Alors que le Canadien a encaissé six buts ou plus à huit reprises cette saison, sa tentative de banaliser la situation a accru le malaise.

Plutôt que de reconnaître les problèmes évidents de l’équipe et de sa propre performance, il a adopté une approche condescendante, insinuant que tout irait bien si l’équipe évitait simplement de s’effondrer davantage.

« Je fais des erreurs parfois, mais avec Nick et Caufield, je vais récupérer les rebonds, créer des espaces, et ça marchera. »

Ces déclarations semblent absurdes quand on sait que Slafkovsky n’a marqué que deux buts en 29 matchs cette saison, alors qu’il jouait souvent sans intensité et sans impact.

Lorsqu’un journaliste lui a demandé ce qui manquait à son jeu avec Patrik Laine et Kirby Dach, il a répondu avec une insouciance déconcertante :

« Nous sommes tous des joueurs qui aiment avoir la rondelle, et parfois elle glisse et nous perdons la rondelle. Mais ce n’était pas si mal. »

Au lieu d’assumer la responsabilité de l’échec du trio, Slafkovsky a préféré rationaliser les performances décevantes.

Cette incapacité à se remettre en question, combinée à une attitude hautaine, illustre un problème d’attitude qui commence à agacer aussi bien les supporters que les observateurs.

Le moment le plus insultant pour les fans a été lorsqu’il a tenté de relativiser la défaite humiliante d’hier :

« Si ça s’était terminé 5-2, ça aurait été OK. Mais 9-2, ouais… »

Cette déclaration minimise l’impact d’une performance où l’équipe a fait preuve de peu de combativité, particulièrement en troisième période.

Pour un joueur aussi bien payé, ce type de commentaire démontre un décalage flagrant entre les attentes des fans et son propre niveau de jeu.

Juraj Slafkovsky, censé être la pierre angulaire de l’avenir du Canadien, se comporte comme un enfant mal élevé.

Se moquer des critiques, minimiser l’impact des défaites et manquer de respect aux fans démontre une arrogance inexplicable pour un joueur qui n’a encore rien prouvé dans la LNH.

Ce comportement soulève des questions : non seulement sur son attitude, mais aussi sur la gestion de l’équipe par Martin St-Louis.

Si Slafkovsky est récompensé par des minutes sur la première ligne malgré ses mauvaises performances et son comportement bâclé, quel message cela envoie-t-il au reste du vestiaire ?

L’ère des excuses doit prendre fin. Slafkovsky doit comprendre que porter le maillot des Canadiens comporte des responsabilités et qu’un contrat lucratif ne suffit pas à gagner le respect des partisans.

Sans changement d’attitude, il risque de devenir un symbole du déclin du CH sous Martin St-Louis.

La défaite contre les Penguins a laissé des traces, mais la véritable onde de choc est venue de l’attitude de Juraj Slafkovsky.

Les pauvres sont de plus en plus déconnectés des attentes de l’organisation et de ses sympathisants. L’arrogance affichée par l’attaquant slovaque de 7,6 millions de dollars par an est scandaleuse non seulement à Montréal, mais aussi en Slovaquie, où les médias locaux commencent à remettre en question son humilité et sa maturité.

Malgré ses performances désastreuses cette saison, Martin St-Louis continue de protéger Slafkovsky, lui accordant toujours de grosses minutes.

Lorsqu’on lui a demandé pourquoi Slafkovsky était resté si bien traité malgré ses performances, St-Louis a esquivé :

« Il a des qualités qui ne s’enseignent pas. C’est un processus, et il trouvera son chemin. »

Un discours de patience qui ne passe plus auprès des supporters ni même, selon certaines sources, au sein de la direction.

Ce n’est pas pour rien que Kent Hughes est intervenu pour reprendre solidement Slafkovsky dans une conversation agressive.

De nombreux dépisteurs de la LNH, autrefois fascinés par son potentiel, commencent à réviser leurs évaluations.

Un recruteur anonyme, cité par un média américain, déclarait récemment :

« Si Slafkovsky mesurait 5 pieds 11 pouces, il ne jouerait même pas dans la LNH. Sa taille est son seul atout, mais il refuse d’en profiter. Il joue petit, il évite les contacts et ses décisions avec la rondelle sont catastrophiques. »

Un autre recruteur a ajouté :

« C’est un joueur de profondeur avec un salaire d’élite. S’il ne change pas la donne l’année prochaine, il pourrait devenir l’un des pires contrats de la LNH. »

La situation est d’autant plus critique que la saison prochaine marquera l’entrée en vigueur du lucratif contrat de huit ans accordé à Slafkovsky.

Avec un salaire de 7,6 millions de dollars par saison, il deviendra le 3e joueur le mieux payé de l’équipe.

Ce qui alimente encore davantage la frustration, c’est l’attitude de Slavkovsky. Lorsqu’un journaliste lui a demandé s’il ressentait une pression pour justifier son contrat, il a répondu en riant :

« Pourquoi devrais-je ressentir la pression ? Je joue mon jeu, c’est tout. »

Une déclaration qui trahit une méconnaissance des responsabilités liées à son statut. Pour les supporters qui voient leur équipe sombrer au classement, ce type de commentaire est perçu comme une insulte.

Des sources internes rapportent que l’attitude de Slafkovsky commence à diviser le vestiaire. Certains vétérans, comme Brendan Gallagher, seraient frustrés par son manque de combativité.

D’autres, comme Nick Suzuki, tentent de servir de médiateurs, mais même le capitaine aurait suggéré, lors de discussions privées, que « Juraj doit grandir, et vite ». »

Pendant ce -, les médias slovaques profitent des moindres faux pas de Slafkovsky pour alimenter un feuilleton sensationnaliste.

« Le fils prodigue qui déçoit : Slafkovsky perd pied à Montréal. »

Ces critiques exacerbent la pression sur le jeune joueur, déjà sous le feu des projecteurs dans son pays natal.

Juraj Slafkovsky est à la croisée des chemins dans sa carrière. Déjà. Loin d’être le prodige qu’espérait Kent Hughes en le sélectionnant premier au classement général en 2022, il est devenu une Source constante de polémique.

Si sa production ne s’améliore pas rapidement et son attitude ne change pas, la patience de l’organisation et des fans pourrait s’épuiser.

Le message est clair : le - des excuses est révolu. Le - est venu pour Slafkovsky de prouver qu’il mérite non seulement son contrat, mais aussi le privilège de porter le maillot du Canadien.

Dans le cas contraire, il deviendra le symbole d’une reconstruction qui n’a jamais vraiment décollé. On ne va pas encore l’appeler le Slovaque « Alexandre Daigle »… mais…

 
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