Publié le 26/06/2024 à 16h06
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Présenté comme l’un des visages du FC Nantes ces dernières années, Antoine Kombouaré a tout connu avec les Canaris. Vainqueur de la Coupe de France en 2022, le technicien kanak était également au bord de la relégation avec le FCN, notamment la saison dernière. Avant la reprise de son équipe, Antoine Kombouaré a évoqué son statut sur les bords de l’Erdre.
© Site officiel du FC Nantes
La saison dernière encore, le FC Nantes a failli accéder à la Ligue 2 à partir du mois d’août prochain. Les Nantais ont cependant su faire le nécessaire à la fin de l’exercice 2023-2024 pour éviter une issue dramatique. Après le retour d’Antoine Kombouaré pour succéder à Jocelyn Gourvennec, un nouveau chapitre s’ouvre pour les Canaris. Ce dernier sera opposé au Toulouse FC à la Beaujoire lors de la reprise du championnat le 18 août. Durant cette période de transferts, l’entraîneur du FC Nantes a accordé une interview à un YouTuber et s’est exprimé sur l’image qu’il renvoie à Nantes.
Kombouaré déplore son statut de pompier en service
Cette semaine, l’entraîneur du FC Nantes a accordé une interview au YouTubeur Foot Farid and Co. A cette occasion, Antoine Kombouaré a souhaité clarifier son image et est revenu sur le portrait souvent dressé de lui. Régulièrement décrit comme un « meneur d’hommes », l’ancien entraîneur du PSG rétorque : « C’est très réducteur. J’ai commencé à coacher professionnellement en 2003… Je suis au plus haut niveau depuis plus de 20 ans. Je suis avant tout un technicien. J’aime le jeu offensif. Si je tiens dans le temps, c’est parce qu’il y a une régularité dans mon travail. J’aime manager les gens, j’aime les équipes qui ont du caractère, de la personnalité ».
Comptant parmi les entraîneurs les plus capés du championnat de France, Antoine Kombouaré apparaît confiant en ses atouts et bien conscient que son travail est reconnu dans le football de haut niveau : « Ma façon de travailler se réduit souvent à être pompier de service. Je laisse les gens parler… ce qui est sûr c’est qu’aujourd’hui je continue à travailler et que quelqu’un vient me chercher. Je suis heureux dans ce que je fais ».
