L’entraîneur a clairement raté son approche tactique contre la Slovaquie. Il l’a nié, mais les faits sont là. Malgré le désarroi général qu’a provoqué la défaite, il ne faut pas tout remettre en question et encore moins jeter après un match. Ni chez les joueurs et encore moins chez Tedesco.
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Chef adjoint de la division Sports et chef de l’unité football
Par Frédéric LarsimontPublié le 18/06/2024 à 19h00
Temps de lecture : 1 min
jeIl n’a pas fallu dix minutes après le coup de sifflet final de ce match Belgique-Slovaquie au rebondissement inattendu pour que les applications mobiles multiplateformes de centaines de milliers de citoyens se transforment en un véritable tribunal. Un grand classique des échanges d’arbres d’aujourd’hui amplifié par l’incompréhension et parfois le désarroi de 11 millions d’obtenteurs. Noyés dans la multitude infinie de critiques voire d’anathèmes, le bon sens et l’équilibre mettront donc quelques jours à émerger.
A l’heure des grandes remises en question, mais au terme d’une prestation d’ensemble qui n’en vaut pas non plus la peine, il sera important de remettre les choses en ordre et les hommes à leur poste. , samedi à Cologne contre la Roumanie. Puis plus tard contre l’Ukraine. Dans la simplicité la plus élémentaire et avec l’humilité dont ont su faire preuve lors d’une journée d’orgue, les plus grands coachs de notre époque. Tedesco serait alors immédiatement pardonné pour ce moment d’erreur slovaque.
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