Le PSG est à la veille de la finale de la Ligue des champions. Mais avant de poursuivre son rêve d’un sacre inédit en C1, il doit d’abord surmonter l’obstacle du Borussia Dortmund de Gregor Kobel et résister au fameux « Mur jaune » lors d’une demi-finale aller qu’il aborde en position de favori, mercredi.
L’histoire est facétieuse : c’est en effet la saison où la direction du club, l’entraîneur Luis Enrique et les joueurs ont officiellement rejeté « l’obsession » de la Ligue des Champions que l’équipe s’est peut-être trouvée la plus proche d’un couronnement sur la scène européenne.
Au cours d’un exercice au cours duquel ils ont élevé leur niveau mois après mois, grâce également à un tableau ouvert dès les huitièmes de finale et après une phase de poules compliquée, les Parisiens auront réussi à accéder aux demi-finales. finales. Atteindre ce stade était improbable en août dernier, au tout début de l’ère Luis Enrique, juste après les départs de Lionel Messi et de Neymar et à l’approche des adieux de Kylian Mbappé cet été.
Paris favori logique
Désormais, le PSG et sa superstar peuvent légitimement être « obsédés » par la victoire finale, dont seulement 3 matches les séparent, dont 2 contre le Borussia Dortmund. Un adversaire abordable pour le PSG, malgré les déclarations de principe du jeune attaquant Bradley Barcola à l’UEFA : “Nous les avons déjà affrontés deux fois cette saison, nous savons que c’est une très bonne équipe.”
Car en l’occurrence, ces 2 matches de poule restent de bons souvenirs pour le club français – victoire 2-0 au Parc des Princes, qualification pour les huitièmes de finale acquise après le nul (1-1) au Signal Iduna Park. Si l’on ajoute la qualification en 2020 après les 2 tours des huitièmes de finale (1-2 ; 2-0), sur le papier et pour les bookmakers, Paris est favori.
ats/alt
