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Journaliste
Avide de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui titulaire d’un Master en journalisme sportif, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités.
Auteur d’une nouvelle prestation convaincante face à l’AS Monaco dimanche soir, Geronimo Rulli s’impose comme une référence pour son poste en Ligue 1. Au-delà de son niveau, le gardien argentin se présente comme l’un des leaders de l’OM après Roberto De Zerbi.
Arrivé cet été en remplacement Paul López, Géronimo Rulli a impressionné depuis ses débuts. Dimanche soir, le gardien argentin s’est encore montré très impressionnant pour permettre auÀ PROPOS s’affirmer contreAS Monaco (2-1). Au-delà de ses prestations à Marseille, Rouler s’est imposé comme un grand leader comme le souligne Roberto De Zerbi.
De Zerbi s’enflamme pour Rulli
« Oui, je pense que j’ai un grand gardien, un grand homme, un grand leader, et on a vraiment de la chance de l’avoir (…) C’est surtout du bonheur pour mes joueurs. Je veux qu’ils expriment leurs qualités. Je me sentais responsable de ne pas pouvoir les aider à atteindre 100 %. Je m’attache à mes joueurs. Je ne suis pas objectif quand je parle d’eux, je suis plus optimiste et positif, mais ça m’a attristé de les voir à 30 ou 20% de leurs capacités », a lâché l’entraîneur duÀ PROPOS en conférence de presse, avant de se réjouir que leÀ PROPOS a finalement vaincu la malédiction de Vélodrome.
“Je pense que j’ai un grand gardien, un grand homme, un grand leader”
« J’espère que c’est le début d’une histoire importante au Vélodrome. Je pense que beaucoup de gens viennent ici pour ça, pas seulement moi. C’était dommage que nous ne puissions pas nous exprimer pleinement ici. Il y avait un blocage mental, je pense, qui faisait que les joueurs n’étaient pas toujours sereins et lucides, avec de l’anxiété, une peur de se tromper, ce qui rendait le jeu difficile. On l’a vu contre le PSG, Auxerre, Angers, voire contre Nice et en 2ème mi-- contre Reims. C’est difficile à expliquer, mais je pense que nous n’étions pas nous-mêmes. Mais ce soir, même s’il y a eu quelques erreurs et des choses à améliorer, j’ai vu mes joueurs. Les joueurs que j’entraîne depuis le 6 juillet, qui ont démontré ce sur quoi nous travaillons chaque jour à l’entraînement, qui ont joué avec courage, avec organisation au niveau du jeu, toujours en train de se battre, en essayant aussi des choses, avec un pressing haut. Ce soir, j’ai vu l’équipe que j’entraîne », a ajouté Roberto De Zerbi.