Cet article a été automatiquement traduit de HIBAPRESS, la version arabe :
Heba Press – Muhammad Zariyouh
Les plages de Beni Bougafar et d’Al-Kabadani dans les régions de Nador et d’Idriouch connaissent un retour en force de l’activité du trafic de drogue et des réseaux de migration clandestine vers l’Europe, profitant des vedettes rapides Phantom, devenues un moyen privilégié pour ces derniers. opérations illégales. .
Cette évolution reflète les pressions sociales et économiques persistantes qui poussent les jeunes à risquer leur vie à la recherche de meilleures opportunités, tandis que les réseaux de passeurs exploitent l’emplacement stratégique de ces zones.
Selon des sources d’Heba Press, des vedettes rapides transportent des migrants et de la drogue en un temps record, ce qui rend leur contrôle difficile pour les autorités sécuritaires.
Les rapports de terrain ont montré une augmentation notable de l’activité de ces réseaux ces dernières semaines, s’appuyant sur le terrain difficile et l’isolement des plages de la région pour échapper à la surveillance des autorités.
Malgré les efforts intenses déployés par les autorités marocaines pour lutter contre ce phénomène, notamment en renforçant la surveillance côtière et en lançant des campagnes de sécurisation continues, le défi reste de taille en raison de l’évolution continue des modes de fonctionnement de ces réseaux.
La proximité de la région avec l’Europe en fait également un point de départ attrayant pour les réseaux de contrebande.
Le retour des bateaux fantômes sur les plages de Bougafar et d’Al-Kabadani soulève des questions urgentes sur la manière de relever ces défis étroitement liés, à la lumière des pressions économiques et sociales croissantes que les réseaux de passeurs exploitent pour réaliser des gains illicites au détriment de vies innocentes.
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