Quant à la température maximale moyenne, elle était de 15,4°C (normale : 14,7°C) et atteint la huitième place du classement.
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Faits remarquables en termes de températures : après février, mars n’a pas non plus connu de jours glacials. Ce n’est que la deuxième fois depuis le début des observations en 1892 que les mois de février et mars ne connaissent pas de jours de gel.
En mai, la température minimale absolue a également établi un nouveau record absolu, ne tombant pas en dessous de 7,8°C (normale : 3,4°C). “C’est une nette différence par rapport au précédent record de 2000 (6,6°C)”, souligne l’IRM.
La température minimale moyenne printanière a également atteint un nouveau record absolu (mesuré depuis 1892), à 8,1°C, battant largement le précédent record de 2007 (7,4°C). Observation identique pour la température minimale absolue du printemps qui atteint la valeur de 1,1°C (normale : -2,5°C). C’est seulement la deuxième fois qu’un ressort présente une valeur pour ce paramètre supérieure à 0°C, ajoute l’institut.
À l’échelle nationale, la température la plus basse a été enregistrée à Elsenborn (Bütgenbach). Le 21 janvier, la température y est descendue à -15,5°C. La température maximale (36,0°C) a été atteinte le 12 août à Zele. Bien que 2024 ait été une année très chaude, aucune vague de chaleur officielle n’a été enregistrée.
Si ce n’était pas l’année la plus chaude à Uccle, l’année dernière a été la plus humide, poursuit l’IRM. Le 27 novembre, le record absolu de 1 088,5 mm datant de 2001 a été battu. Finalement, 1170,7 mm de précipitations sont tombés à Uccle en 2024 (normale : 837,3 mm) et ce montant annuel est tombé en 209 jours (normale : 189,8 jours).
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Ce record de précipitations s’explique principalement par le grand nombre de jours de fortes précipitations (total quotidien d’au moins 20 mm). En 2024, nous avons enregistré 11 jours (normale : 5,1 jours). Seule l’année 2004 en a compté davantage (12 jours), analyse plus en détail l’Institut.
Enfin, le soleil a brillé pendant 1.367 heures 34 minutes (normale : 1.603 heures 43 minutes) à Uccle l’année dernière, ce qui en fait la troisième année la plus sombre pour la période de référence actuelle. Seuls les mois de janvier et août ont été plus ensoleillés que la moyenne, conclut l’IRM.
