« Il y a encore une possibilité de maintien » en 2 pour l’US Concarneau

« Il y a encore une possibilité de maintien » en 2 pour l’US Concarneau
Descriptive text here
2 (36ème journée). Grenoble – US Concarneau, ce vendredi (20h)

Dans quel état d’esprit êtes-vous quand l’US Concarneau a un pied et demi en National ?

Tant que c’est mathématiquement possible, il faut y croire. Nous pouvons le faire si les résultats de nos concurrents sont favorables, mais il faut évidemment commencer par gagner ce vendredi à Grenoble. Il faut tout donner pour, au pire, sortir de cette saison la tête haute.

Nous le devons à nous-mêmes, mais nous le devons aussi au club, aux bénévoles et aux supporters.

Comment abordez-vous ces trois derniers matches avec six points de retard sur Dunkerque et sept points sur Annecy ?

Il faut pouvoir lâcher prise, tout donner, jouer librement et arriver à marquer car on n’a vraiment plus rien à perdre. Lors des matches précédents, nous avons été plutôt réguliers, mais à chaque fois, il nous a manqué de quoi faire tourner la situation en notre faveur. Je pense notamment aux matches contre Amiens puis Quevilly-Rouen où on a terminé 0-0.

L’équipe enchaîne onze matchs sans victoire depuis son succès à Annecy. Quelle est votre analyse ?

Je ne peux pas dire quel est exactement le problème. Lorsque nous avons commencé l’année 2024 et la phase de retour, nous étions bien partis. Sur certains matches, nous avons mal géré, comme contre le Paris FC où nous avons dû fermer boutique après avoir repris l’avantage (2-1) ou contre Angers où nous menions 2-0 à la pause avant d’en prendre quatre en seconde période. -temps. Et puis, quand les mauvais résultats s’accumulent, il est toujours difficile de sortir d’une spirale négative.

Quel poids pèse le fait d’avoir joué ses matchs à domicile à l’extérieur dans cette situation ?

Avoir un stade plein a toujours un impact. Je n’ai pas vu Guy-Piriou à guichets fermés, mais ça nous aurait évidemment beaucoup aidé. Après, il ne faut pas non plus se cacher derrière ça. Jusqu’en février, nous étions bien au-dessus de la zone rouge.

La saison dernière, Annecy était juste au-dessus de la ligne rouge jusqu’à la 38e journée et a finalement été reléguée (avant d’être repêchée). Était-ce plus facile à vivre ?

On voit bien que les statistiques ne veulent rien dire. Il y a un an, nous avions 96% de chances de tenir le coup avant notre dernier match au Paris FC. Et finalement, nous nous sommes retrouvés en zone rouge. Là, les stats nous donnent 94,5% de chances* de baisser. Vous ne devriez pas lui faire confiance. Il y a encore une possibilité. Il faut y jouer à fond.

*Statistiques données par le site de la Ligue 2 BKT avant la 35ème journée.

#Français

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

PREV Le camping des Portes d’Ariège officiellement inauguré à Pamiers
NEXT pourquoi un double oui est nécessaire en santé