Ce matin, Renaud Lavoie a fait avancer le dossier Guy Boucher.
Il l’a notamment fait par écrit dans le cadre d’un article visant à parler de son importance pour les Maple Leafs de Toronto. Après tout, c’est lui qui est en charge de l’avantage numérique du club.
Lavoie a parlé à ses joueurs pour les interroger sur l’approche du Québécois.
Puis, ce matin, il en a également profité pour en parler lors de sa chronique quotidienne sur BPM Sports. Il a parlé de l’appréciation des membres du club à son égard et de son dévouement.
Car oui, Boucher est toujours en mode solution. Il travaille constamment sur son ordinateur, il communique avec tous les joueurs et il souhaite vraiment que le club progresse bien.
Est-ce que tout cela vous ouvrira à nouveau les portes de la LNH en tant qu’entraîneur-chef ? Peut-être oui.
Quoi qu’il en soit, il évolue dans un marché qui lui permet de s’assurer que les yeux du monde du hockey seront rivés sur lui. Et ce, peu importe si cette opportunité se trouve ailleurs… ou si elle est à Toronto.
Car dans tout ça, il ne faut pas oublier qu’en 2015, Brendan Shanahan a choisi d’embaucher Guy Boucher comme entraîneur des Maple Leafs avant de voir Mike Babcock, à la dernière seconde, changer d’avis et prendre le poste à Toronto.
En le reprenant en 2023, cette fois comme adjoint de Sheldon Keefe, Shanahan a ramené dans son club un entraîneur qu’il apprécie et qui est respecté en ville.
Cela signifie ce que cela signifie, mais…
Il convient de mentionner que si les Maple Leafs perdent au premier tour, faire appel à un gars que Shanahan aime comme entraîneur et qui a la réputation d’emmener ses clubs en profondeur dans les séries éliminatoires dès la première année pourrait aider Toronto.
Et ce, même si Boucher parle français.
Car oui, à ce sujet, Renaud Lavoie a mentionné que si Guy Boucher était un Canadien anglais, il ne serait peut-être pas simplement assistant au moment où nous parlons.
S’il avait été anglophone du Canada anglais, il aurait été entraîneur depuis longtemps. – Renaud Lavoie sur Guy Boucher
Il y a plusieurs Québécois qui dirigent dans la LNH et Boucher a déjà été embauché à deux reprises : à Tampa Bay et à Ottawa. Lavoie se souvient-il d’une époque où un club refusait spécifiquement de l’embaucher à cause de ses racines ?
Peut-être oui.
Beaucoup de
– Changement à Long Island : Patrick Roy va devant le filet remet le filet à Ilya Sorokin pour le prochain match.
– Intéressant.
– Oh oui?
